Quand deux de nos chouchous se rencontrent on est logiquement obligés d'aimer!
Theophilus London dont on t'a parlé plusieurs fois prépare la sortie de son album Vibes (avec dans le rôle du producteur exécutif "lui", donc on imagine déjà le bruit que ça risque de faire
Si le trio sud-africain emmené par Ninja et Yolandi Visser (et, bien caché derrière ses platines, Hi-Tek) ne brille pas toujours par son excellence niveau son (et encore, même là on est réceptifs! Allez savoir...) il faut reconnaitre que visuellement ils ont su imposer leur marque de fabrique.
FKA Twigs se met en scène pour promouvoir les Google Glass!
A la fois actrice et réal pour cette pub en forme de court métrage, la chanteuse met en avant les atouts produits (vous avez dit Brand Utility?) avec en guise de bande son, deux de ses morceaux : Video Girl et Glass Patron.
New-yorkaise de 25 ans, Elle King a écumé les Etats-Unis avant de s'établir dans la Big apple. Elle débute sa carrière en se produisant à Brooklyn et Harlem. Son style musical va de la country au rock en passant par la soul et le blues.
La charmante Tove Östman Styrke nous revient avec un nouveau clip tout frais! La jeune suédoise qui avait été repérée dans Sweden Idol en 2009 (dans lequel elle s'était hissée à la troisième place du podium) nous présente la vidéo de Borderline premier single de l'EP éponyme qui sortira le 23 novembre prochain.
Alors avant tout: désolé! Désolé d'avoir raté, sur ce blog, la Fête de la musique... Mais disons qu'une journée de boulot acharné, enchaînée d'une soirée qui se termine par une douche dans des vapeurs d'alcool à 7h avant de repartir pour une nouvelle journée, ce n'est pas le programme idéal pour pouvoir bloguer!
Enfin bon, encore une semaine de rush au travail et je devrais reprendre un rythme normal...(on peut toujours rêvé, non ;). D'autant qu'en ce moment j'ai plein d'artistes, de morceaux, de découvertes que j'aimerais partager ici!
Alors pour ce post, j'avais juste envie de vous faire découvrir, ou apprécier (si vous la connaissez déjà) la voix de Sandra Nkake. Pour tous ceux à qui les Nuits Zébrées diront quelque chose, et à tous ceux qui laissent leurs oreilles vagabonder de temps en temps du côté de Radio Nova, ce nom ne sera pas inconnu !
Je vous laisse vous faire votre avis, en tous cas moi depuis le début de l'année: je suis fan! J'attends juste le premier album avec impatience...! Le morceau: Sex Friend... et c'est du LIVE!
Le blog? Au départ, un journal intime. En tous cas, c'est une vocation que remplit peut-être ce post, derrière de faux airs de "bonne fête papa"....
En commençant ce blog j'écrivais que "Depuis mon plus jeune âge la musique avait bercé ma vie", ce que j'aurais du plutôt dire (dans un soucis de précision) c'est qu'à chaque moment de ma vie, correspondent une chanson, un artiste. Et à l'inverse, toutes les musiques, tous les groupes que j'écoute me rappellent un période précise, une personne rencontrée, une soirée, une année, un état d'âme, etc.
Aujourd'hui, c'est la fête des pères... Forcément ça me replonge dans plein de souvenirs, bien évidemment dans tous ces bons moments passés, mais aussi dans ce jour gravé dans ma mémoire à jamais...
Un mardi matin arrivé au boulot avec une impression bizarre, avec un pressentiment, une appréhension, aussi indescriptible que très désagréable... Un mardi qui m'a fait partir de ce même bureau au bout de 20 minutes suite à un appel dont je me souviens de chaque mot... Un mardi de novembre après lequel rien ne serait plus pareil... Un mardi durant lequel j'ai mis de côté le grand gamin que je suis 90% du temps pour laisser place à un 10% "d'Homme", d'Adulte, qui se doit de soutenir sa petite maman... Un mardi après lequel j'allais passé cinq jours sans dormir une seule seconde...
Ce tristement fameux mardi, a commencé par un périple dans paris (avec les yeux embués et les jambes qui flanchent) pour trouver un billet d'avion en urgence, rentrer dans mon appart', mettre deux chemises dans un petit sac et aller à l'aéroport.
Et, même dans ce moment si particulier, je n'ai pu m'empêcher de passer chez le disquaire de l'aéroport pour me procurer une dose de ma drogue préférée: la musique!
Là, par le plus pur des hasards, une pochette épurée qui m'attire l'oeil, un album dont je n'avais pas du tout entendu parler: c'était bon, j'avais trouvé mon anti-dépresseur pour cette semaine pendant laquelle les émotions allaient s'entrechoquer.
Sinead O'Connor, Throw down your arms.
Je vous reparlerai de cet album et de son interprète dans la semaine (... ou pas), mais dans ce post focus sur une chanson en particulier: Jah Nuh Dead. Je n'avais jamais entendu cette reprise du morceau mythique de Burning Spear dont bizarrement je vous parlais à peine deux semaines avant ce mardi 28 novembre 2006...
Pour la faire courte, et parceque, si je ne me retenais pas, je pourrais écrire un livre entier sur ces quelques jours de ma vie, je dirais juste que la voix de la chanteuse et les paroles de cette chanson sont passées en boucle dans mes oreilles durant toute cette semaine.
Une nuit en particulier, la seule durant laquelle (caché au fond de ma chambre que je redécouvrais après presque deux ans loin de la maison familiale) je me suis autorisé à pleurer toutes les larmes de mon corps... une nuit pendant laquelle des milliers de moments de vie me sont passés dans la tête... une nuit pendant laquelle je laissais tomber mon masque de grand garçon qui essaye de faire rire sa mère pendant ce qui était à coup sûr le moment le plus dur de sa vie... Eh bien durant cette nuit, c'est cette chanson qui est véritablement passée en boucle dans mon casque, avec le son au maximum pour m'éviter à moi-même d'entendre mes sanglots.
J'avais donc envie d'en passer un court extrait ici (ce n'est pas la version CD, c'est un live, avec peut-être moins d'intensité que l'enregistrement studio, mais il donnera un bon aperçu...). Et ensuite, la version de Burning Spear dans Rockers (1978).
Euh... rien de spécial à dire... pas très présent sur le blog ces temps-ci, beaucoup de boulot, beaucoup (trop) de sorties, etc. Mais je vais arranger ça cette semaine!
Alors, j'avais juste envie pour bien commencer cette nouvelle semaine, d'un peu de quiétude, de paroles bien positives, de l'inimitable voix de Monsieur Louis et de ses mimiques que j'adore pendant qu'il chante!
Alors dans le genre post succinct, là on va avoir un bon exemple devant les yeux ! Cette chanson, The Girl from Ipanema, fait partie de celles que j'arriverai jamais à décrire mis à part en me contentant de faire un sourire béat, mais ô combien significatif..
Je m'arrêterai donc à cette citation (trouvée sur Wikimachin) qui laisse rêveur, extraite du livre de Vinicius de Moraes, celui qui est à l'origine de la chanson (pour les paroles) tandis que Tom Jobim en a écrit la musique:
« le paradigme de la Carioca pure et dure : une fille bronzée, entre la fleur et la sirène, pleine de lumière et de grâce mais avec un fond de tristesse, aussi portait-elle en elle, sur le chemin de la mer, le sentiment de ce qui passe, d'une beauté qui n'est pas seulement nôtre — c'est un don de la vie que son bel et mélancolique flux et reflux permanent. »
Les extraits (et le choix a été difficile! Que ce soit Elisete, ou encore Astrud Gilberto et Stan Getz, de nombreuses versions auraient pu figurer ici...) :
Pour enchaîner: ENORME coup de coeur. Elis Regina et au piano l'imcomparable Hermeto Pascoal. Une interprétation incomparable certainement due à cette scène tout aussi imcomparable qui accueille ce pure moment de musique et de bonheur: le Montreux Jazz Festival (et en plus en 1979, une année magique :)
Hier, j'ai assisté par hasard à un showcase à la Fnac Saint-Lazare. L'artiste? Philemon, jeune rappeur nantais. Le concert? Un très bon moment..!
Dans un deuxième temps, écoute de l'album, L'Excuse, et là: très bonne surprise. Un rap intelligent, mais surtout des instrus vraiment très bons. Oscillant entre rythmes jazzys et scratchs efficaces, entre samples et sons de tambours africains. Pour reprendre sa propre définition de sa musique: "de l'urban jazz".
Si Philemon assure des performances live abouties c'est aussi et surtout parcequ'il a été formé à l'école des battles. En effet (comme les accros de la scène de clash de 8miles le savent) la France n'est pas en reste à ce niveau là du rap non plus. Et le rappeur originaire du Congo fait partie depuis plusieurs années maintenant des figures de proue des différents tournois. Et de cette expérience du freestyle et des clashs, ses morceaux ont gardé des rimes aussi drôles que percutante.
Bon j'arrête là et on passe aux extraits. A ce niveau là un seul regret, ne pas avoir trouvé de vidéo des morceaux que j'ai préféré et qui témoignent le mieux du niveau de l'album...
On commence avec On dit quoi? premier single de l'album;
On poursuit avec 3ple Bachelor;
Et pour finir et se faire quand même une idée sur les autres titres présents sur L'excuse, différents titres dans un medley de sa performance live au Reservoir en mars dernier.
Je vous avez déjà parlé de Pink Martini une nuit de novembre dernier (c'est fou ce que ça passe vite!) pendant laquelle je grinchais (une de mes spécialités :) pour de petits détails futiles...
Je ne vous referai donc pas l'article... Mais juste quelques lignes pour vous signaler la sortie de Hey Eugene leur nouvel album.
Alors, outre la pochette que j'aime beaucoup, comment résumer ce troisième album? Peut-être en disant simplement que j'aime toujours autant, que la voix de China Forbes me fait encore le même effet indescriptible et que le jeu de piano de Thomas Lauderdale m'impressionne toujours autant.
On notera des reprises de Syracuse de Salvador (j'adooooore), de Abdelhalim Hafez (un monument de la musique arabe), etc. En effet la très charismatique chanteuse de Pink Martini se permet des interprétations en Anglais (évidemment...) mais aussi donc en français, en portugais, en arabe, et même en japonais...Rien que ça!
Bon voilà, maintenant un petit extrait: Hey Eugene, le titre qui a donné son nom à l'album, et je ne peux pas m'empêcher de mettre aussi une interprétation en live très intimiste de Sympathique.
I'm a flirt, premier single du très attendu nouvel album de R-Kelly, à venir pour la fin du mois (29 mai) : Double Up. On y retrouvera de nombreux guests de Ludacris à Snoop en passant par Rick Ross, Kanye West, Young Jeezy, Bow Wow, etc.
On notera au passage que Robert S. Kelly vient de fêter en début d'année son quarantième anniversaire...
Sensation sur la scène reggae internationnale: Collie Buddz! Le môsieur nous arrive tout droit des Bermudes, avec un accent typique des West Indies!
Dans la lignée de l'allemand Gentleman (dont il a d'ailleurs fait la première partie) Collie Buddz est en train de connaître une ascension fulgurante sur la scène reggae! Son tube Come Around est d'ailleurs assez représentatif de ce succès! Enfin, on reconnaîtra, comme pour Gentleman, cet accent typique des chanteurs de la Jamaïque et plus largement des Caraïbes.
Pour ceux que ça intéresse, vous retrouverez les paroles (enfumées) de la chanson plus bas....
A just the sweet sweet sensi, Yuh know, Yeh I, Yeh I, Nah, Nah, Nah, Nah, Now,
Refrain: Finally the herbs come around, The high grade when me a look for, Me get it by the pound, yeah, Sweet sensi a come around, Me a take a little draw and pass it go round, so, Finally the herbs come around, The high grade that man a look for, Me stock it by the pound, yeah, When babylon a come around, Ask them whe them ago search for,
Ever since the herbs slow down, Police and rude boy dem inna showdown, Them a search round the compound, Yuh kno man a no weed clown, Find a little piece of land and a plant me home grown, so, Tell the youth them nah fi take pill, To much crack and cocaine a make the world a feel ill, yuh kno, Nuff ganja nuff spliff a build, Only thing whe a make man feel chill, Whe (what) me say,
Refrain
There's nothing like the sweet sweet sensi, The first time me take a draw was in elementary, Reach high school an get the herb it plenty, Like Scare Dem dub for Soul Jah One or Lenky yeah, Me stash box never empty, The fifty dollar bag we call that half century, Me start me own herb documentary, Bermy man a call that film 4:20, yeah Whe me say,
Refrain
Nah, Nah, Nah, Nah, Now, Yeh I, Yeh I, Nah, Nah, Now, yo,
When dem ago realize, Good works man a advertize, When dem a go legalize, The farmer man a beg a little bligh, When den ago realize, Government them a terrorize, Corporation dem a capitalize, While the farmer man nuh beg a little bligh,
Bon je ne vais pas vous faire la description de Mika: on en entend parler partout en ce moment, et c'est justifié! Notons simplement Mika c'est l'une des principales découvertes de l'année et l'un de ceux qui squattent le haut des charts, avec son album Life In A Cartoon Motion...
J'aime vraiment beaucoup et j'avais juste envie de vous passer les extraits suivants! D'ailleurs, si vous ne deviez en écouter qu'un (déjà ce serait une erreur!) ça serait le premier. Un grand moment, tout en simplicité et en musique!
Donc, on commence par son passage sur Taratata, avec l'incontournable Grace Kelly, mais aussi avec une interview en musique qui réserve quelques petites surprises au piano (citons par exemple Les Champs-Elysées de Joe Dassin...) et qui permet de découvrir un peu plus cet artiste mais aussi l'histoire de son tube...
Et on enchaîne avec Relax (Take it easy) en Live et le clip de Love Today
C'est drôle comme la télé essaye de surfer sur la vague du buzz sur la Toile... La plupart du temps c'est en relayant ce qui fait du bruit depuis déjà un petit moment et qui circule déjà largement sur les blogs.
Mais voilà, hier j'ai pu constater une nouvelle méthode: pour créer le buzz, en parler à la télé en présentant l'info en question comme ce qui fait bouger le Web. En clair parler d'un clip qui "serait" largement relayé pour faire qu'il le devienne!
C'était dans une émission hautement culturelle que j'ai pu voir cela en fin d'après-midi. 5o minutes inside, sur TF1, nous présentait donc : "HAS" un rappeur qui créé (apparemment et si on s'en tient aux dires de Sandrine Quétier et Nikos Aliagas) un buzz incroyable...Bon après avoir voulu écouter le morceau en question, j'ai pu constater que le fantastique "buzz internet" de l'émission de TF1 était quasiment inconnu sur la Internet... Enfin tout cela reste très anecdotique et très peu intéressant...
Alors parlons plutôt de ce Mr HAS. Pour être très honnête je ne sais pas quoi penser de ce rappeur. A première vue on peut se dire: "encore un produit commercial sans profondeur", mais à regarder d'un peu plus près on se rend compte qu'on a là un mix entre un Solaar (pour les textes sur certains titres) et un Disiz La Peste (pour le côté décalé et drôles et surtout à contre courant du l'univers Bling Bling importé de quartiers de Los Angeles). Bon il faudrait voir ce que ça donnera sur un album entier. En attendant, vous pouvez écouter ci-dessous son dernier titre, Mon manège enchanté, une version parisienne du Marly-Gomont de Kamini, en souhaitant à H.A.S. de connaître le même succès...
A noter que le jeune homme de 25 ans est sénégalo-algérien et vie dans le 13ème arrondissement de la capitale (et ce n'est absolument pas parceque mes parents sont algrériens, que j'ai vécu une bonne partie de ma vie à Dakar et que je vie depuis dix ans bientôt dans le 13ème que j'ai eu envie de relayer l'info ici :D).
Et enfin, précisons que ses clips, que l'on peut voir sur son site, sont réalisés par Paris Pixels, boîte de prod plus que prometteuse, dont voici la brève description:
"Le projet Paris Pixels a vu le jour le 14 juillet 1994, date de la rencontre entre les deux associés Julien Lacouture & Alex Da Silva, sa concrétisation en 2006 marque la naissance d'une société de production fruit de cette amitié. Issu de la culture urbaine Française, du cinéma Hollywoodien et de l'entertainment Japonnais; les deux créateurs parlent de ce qu'ils aiment en citant Les Frères Cohen, Guy Ritchie, Quentin Tarantino, Michel Gondry, Jean-Jacques Beinex..."
Je vous en avais parlé, il y a quelques posts de ça, je viens d'avoir le nouvel album de Bebel Gilberto: Momento.
Alors après une dizaine de jours a l'écouter: j'aime! Dans les différents communiqués et interviews annonçant la sortie l'artiste affirme avoir mis plus d'elle-même dans cet album qui lui ressemble vraiment, notamment en ayant participé à toutes les compositions...Et on le sent bien!
Dans la lignée de ce que beaucoup ont qualifié d'éléctro-bossa pour la version remixée de l'album Tanto Tempo, elle arrive à mêler à merveille les rythmes brésiliens et des sonorités plus internationales, parfois plus électroniques...
En effet elle semble ici s'affranchir définitivement de la Bossa Nova "traditionnelle" comme ont su la faire résonner son père et son oncle, deux mythes de cette musique: João Gilberto et Chico Buarque(mais aussi sa mère, Miucha, moins connue en Europe, mais tout aussi célèbre que son mari au Brésil).
Je lisais récemment une interview d'elle dans un magazine, dans laquelle elle affirmait dans les grandes lignes qu'elle en avait marre d'être comparée à son père et qu'il serait triste à quarante ans (et oui, même si elle ne les fait pas la jolie chanteuse va fêter ce mois-ci ses quarante et une bougies...) que sa musique ne soient décrite et appréciée qu'en référence à celle de son père... Eh bien rassurez-vous belle Bebel, vous êtes parfaitement parvenue à créer votre propre style, un style doux et entraînant à la fois, un style que j'adore!
On remarquera sur l'album la reprise très réussie de Caçada de son oncle Chico Buarque, on appréciera l'envoûtant Bring Back the Love avec les New-Yorkais de Brazilian Girls (qui me fait penser à des rythmes comme sauraient les faire King Bitt avec Sylk130). Enfin, cet album nous livre deux véritables perles: Words et Night and Day, sur la douceur desquelles la voix de Bebel Gilberto fait des merveilles!
Allez: Extraits!
On commence avec le clip du premier single, Memento. ce n'est pas ma préférée mais elle est quand même pas mal,
On enchaîne avec deux titres que j'aime beaucoup, extraits de Tanto Tempo: So Nice et Samba de Bançao (pour ce deuxième extrait, les images correspondent à un montage vidéo trouvé sur Youtube...)
J'aurais pu, à la manière de Ludo, titrer ce post "D... comme Découverte", mais c'est surtout un énorme coup de coeur qui vient de me bercer durant toute cette après-midi au boulot!
A midi direction écoute de CD's à la Fnac, après:
Un rayon Variété Française qui m'a fait constater qu'en fait j'aimais bien la voix de Christophe Maé et qu'il faudrait que j'en fasse un petit post,
Un rayon Soul/Rap/etc, dans lequel la voix d'Anthony Hamilton m'a occupé dix bonnes minutes,
Un rayon Reggae qui m'a mis face à mon retard sur les posts de la semaine dernière, en voyant l'album de Krys dont je dois vous parler ici,
Après tout ça donc: JAZZ et plus précisément le micro panneau dédié au Jazz Vocal et au Gospel... et là, écoute de l'album de Térez Montcalm, Voodoo!
Après la première piste, (reprise d'un classique du Jazz) j'étais conquis par cette voix et ce timbre si particuliers! La demoiselle est canadienne, québécoise plus précisément, et s'accompagne régulièrement d'une guitare de laquelle elle sort un joli petit son bien jazzy, qui enrobe parfaitement des passages de scat que j'adore ! Et durant l'après-midi je n'ai pas été déçu par l'album, fait à la fois de reprises (Hendrix, Elton John) et de compositions persos.
En résumé: une artiste à découvrir d'urgence! Précision qui s'impose: même si ça fait très publi-rédac, je n'ai aucune action ni chez Marquis, ni chez Dreyfuss (distribué par Sony Bmg) les boîtes de Prod, et je ne connais pas personnellement la miss ;)
Bon allez assez parlé, pour vous faire un avis, une reprise que je trouve très réussie, et qui donne vraiment une seconde vie à un morceau mythique: Sweet Dreams d'Eurytrhmics.
Un post rapide, avant de reprendre un rythme plus régulier la semaine prochaine.
Dehors c'est ambiance pluie, tonnerre et éclairs, et dans ma tête aujourd'hui c'est un peu la même chose... Donc juste une petite pause, un peu de douceur, de volupté, de sensualité, de musique apaisante et enivrante!
Ce morceau, Au fur et à mesure, de Liane Foly, ici en duo avec Zoé, et l'un de mes préférés de la Chanson française, un de ceux qui me feront encore tout oublier dans vingt ans...
OUI vous devez forcément vous en rendre compte les Marley tiennent une place importante sur ce blog, mais elle n'est que le reflet de celle qui est la leur dans le Reggae et plus largement dans la musique (comme en témoignent d'ailleurs les récompenses obtenues par l'ensemble de ses membres...).
Cela s'explique aussi par le fait qu'a l'époque où j'avais à peu près cette tête là ---->, où cette musique tenait une place prépondérante dans ma vie, et où il ne se passait pas une semaine (un jour?) sans qu'un membre de la famille m'enivre de son son...Entre temps, les cheveux sont tombés, la calvitie s'est bien installée, mais dans le coeur l'amour pour les Marley et leur musique est resté intacte!
Je vous ai donc parlé du père: ici, ici, là et encore là à l'occasion de la commémoration de sa mort. On est aussi passé par le plus jeune de la bande et celui qui a rencontré le succès le plus fulgurant. Aujourd'hui, actualité oblige, c'est l'heure de passer à celui qui a pris le plus de temps pour sortir son album solo, remplissant jusque là sa carrière en faisant des featurings avec de nombreux artistes, en en produisant d'autres (à commencer par ses frères), etc. : Stephen!
Je vous avez déjà diffusé en Janvier le premier extrait (Traffic Jam) de l'album Mind Control qui vient d'arriver dans les bacs, pour le post sur Damian, dont il avait produit une grande partie de l'album. J'ai écouté l'album depuis dimanche et....J'AIME! C'est vraiment à la hauteur de ce que j'attendais. On oscille entre le plus pur reggae roots, et le ragga, mais certaines chansons ont aussi des sonorités plus pop/folk, comme saurait les faire un Ben Harper (qui participe d'ailleurs à l'album sur le très bon morceau Ina the Red). Et au-delà du genre, c'est de belles musiques qu'il va être question ici, comme vous le constaterez par vous-même (j'espère :).
Je pense que plutôt que de trop en dire, le mieux est encore de le découvrir (pour ceux qui ne le connaissent pas, et de se délecter en le réécoutant pour les autres) en musique. Avant de passer à l'album, deux extraits incontournables selon moi :
Tout d'abord si vous ne devait écouter qu'un morceau, c'est le suivant!!! Il restera certainement l'un de mes préférés de l'artiste pour très longtemps. C'est en duo extrait de l'album Mama's Gun de MADAME Erykah Badu: In Love With You... (les images sont un montage trouvé sur YouTube, mais je ne pouvais pas m'empêcher de la passer). Pour ce morceau autant fermer les yeux et imaginez-vous avec celle/celui que vous aimez, que vous avez aimé, par qui vous aimeriez être aimé, etc. et laissez vous bercer par ces deux voix qui s'accordent parfaitement...
On enchaîne avec un petit bijou, un véritable COLLECTOR! Une vidéo qui traduit bien la place de la musique dans sa vie, héritage oblige! On est en 1981, c'est le mythique Reggae Sunsplash, les Melody Makers (le groupe emmené par la suite par Ziggy et ses soeurs et dans lequel il a fait ses armes) se produit devant une foule impressionnante, et sur Sugar Pie, c'est Stephen, 9 ansseulement (!!!) qui prend le lead vocal... J'adore! Et particulièrement la manière qu'il a de bouger sur scène! Il est déjà dans son élément !
Un "mini extrait" de Traffic Jam, en live pour un showcase intimiste (il doit y avoir à peine une vingtaine de personnes dans la salle...) organisé par la maison de disque dans sa Universal Republic Records Lounge(à ce propos gentils amis de Universal si vous faîtes la même chose quand il passera sur Paris, je veux bien venir moi!). Cet extrait respire la joie de vivre, et traduit bien ce qu'est la musique pour les Marley: La VIE! Là où d'autres feraient simplement leur métier, ici c'est de passion qu'il s'agit m'sieur dames!
Comme ce post à aussi et surtout vocation à parler de Mind Control, deux extraits (en live encore!) on commence avec le titre éponyme de l'album (pour ne pas oublier que le reggae c'est avant tout une musique engagée!) et ensuite Hey Baby (dont j'aime beaucoup les paroles et que je trouve vraiment belle (sur l'album le New Yorkais Mos Def est en featuring). Notons que ce live date d'à peine dix jours et avait lieu au Boulder Theatre dans le Colorado...Merci Internet!!!
Et enfin, pour finir, comment ne pas y passer, un hommage à son père, pour le Tribute de 2000, sur l'un des morceaux les plus beaux de Bob Marley: In high tide or in low tide, extrait de Catch a fire. La fin de la vidéo nous permettra aussi d'apprécier l'entrain de Cedella Booker, née en 1926, la mère de Bob, qui vient illuminer la scène de sa prestance...Et là je dis: Quelle Belle Famille!!!!
C'est fou ce que j'aime le CD, en tant qu'objet..! C'est clair que comme tout le monde j'apprécie l'avènement du MP3, mais je ne ressens pas le même plaisir en téléchargeant un album, où en l'achetant. Il est vrai que mon portefeuille ne voit pas toujours les choses du même oeil, mais bon...
Mais sérieusement, et ceci n'est ni un plaidoyer contre le téléchargement ou encore pour la protection des marges (très confortables) de la Sacem, je trouve vraiment énorme de pouvoir télécharger tout et n'importe quoi, et en particulier les anciens albums, mais pour les sorties:
J'AIME avoir les CDs en main,
J'aime voir la pochette,
J'aime feuilleter le livret,
J'aime lire les paroles quand elles y sont,
J'aime apprécier le travail graphique qui a été fait,
J'aime découvrir la décoration du CD en lui même,
Etc, etc, etc.
C'est clair que les maisons de disques, les magasins spécialisés et l'ensemble des acteurs du secteur pourrait faire un effort, trouver des albums allant jusqu'à plus de 20€ est tout simplement hallucinant!
Tout ça pour dire qu'en bon Homo-Consummator (euh...oui bon ça va j'avais envie de placer un truc du genre) j'ai été faire un tour à la Fnac aujourd'hui et comme souvent dans ces cas là je n'ai pas réussit à ressortir les mains vides...Donc l'image précédente (cliquer pour mieux la voir;) va vous donner un petit avant goût de quelques uns des posts de la semaine...
J'ai une furieuse envie de légèreté en ce moment et un groupe se prête parfaitement à combler ce besoin : les Gym Class Heroes.
On pourrait qualifier le groupe de fusion entre Rap et Rock, ou de "hip hop alternatif". MAIS comme on est pas toujours obligé de mettre les groupes dans des cases, je dirais plutôt que c'est de la "musique que j'aime"... Comme souvent quand un groupe arrive avec un univers décalé, c'est du pur produit de New York.
J'aime particulièrement le chanteur, vu dans le flop de l'an dernier: Snake on the plane, Travie McCoy. Que ce soit sa voix et son flow, ou encore son style à la Pharell et son attitude qui donne l'impression qu'il est "sous X" pendant ses prestations live...
Le groupe est produit par Decaydance, le label de Patrick Stump des Fall Out Boys, depuis son album The Papercut Chronicles (2005). (apparemment trois albums autoproduits avant, mais je ne les ai pas écouté...)
Si As cruel as school children, le dernier album en date (2006) est vraiment très bon, c'est la réédition de Cupids Chokehold qui a fait le plus bruit ces derniers temps. Ce morceau, très largement inspiré de Breakfast in America de Supertramp, dans lequel apparaît Patrick Stump, était présent sur Papercut chronicles. Ils ont eu la brillante idée de le ressortir avec un nouveau clip plus "fun" et: pari gagné il passe en boucle sur différentes chaînes de TV et de radios et a été remarqué sur la Toile alors que la première version était passée totalement inaperçue...
Voilà, et pour résumer: deux albums que je conseille vraiment! Pour vous faire une idée, les extraits:
On commence par le carton: Cupids Chokehold
The queen and I dans une versionacoustique que j'aime beaucoup!
Et en bonus: Breakfast in America de Supertramp pour comparer à Cupids Chokehold ! ;)
Il y a des moments dans la vie ou petits et gros problèmes s'en donnent à coeur joie pour venir vous sortir de cette léthargie, cette routine qui vous fait trop souvent oublier à quel point elle est belle cette vie...
Des problèmes qui, comme dans une loi de murphy des plus perverses, se relayent pour vous faire dire:
>> Pardon, je ne me plaindrait plus jamais de ce paradis qu'est ma vie! >> Juré je profiterai de chaque moment comme du plus beau des cadeaux! >> Promis je crierai des Ceaze The day, des Carpe Diem, etc. à m'en tuer la gorge chaque matin où je me réveillerais:
sans voir que les attentats reprennent à dix minutes de l'endroit où vit ma mère,
sans qu'on me dise que j'ai (encore) perdu un membre de ma famille,
sans me rendre compte que tout ce qu'on a connu jusque là peut disparaître du jour au lendemain (ahhh ça doit être ça devenir adulte...?),
sans me rendre compte que j'ai un dossier qui va me bouffer mes soirées de la semaine prochaine,
sans être malade comme un chien, à n'en plus pouvoir parler normalement,
sans que des problèmes insignifiants viennent en plus en remettre une couche par-dessus,
Etc, etc, etc.
Même si ces quelques lignes donnent un peu l'impression d'un état qui oscillerait entre déprime et morosité, elle ne sont que le reflet d'un blindage chaque jour plus résistant, qui n'a comme leitmotiv que le titre d'un standard aux faux airs de méthode coué: Don't Worry, Be Happy... Par Bobby McFerrin
Et non, je n'ai pas transformé ce blog en Eklektik Cinéma... Mais bon, je viens de voir Little Miss Sunshine, que j'avais envie de me regarder depuis sa sortie au cinéma, et j'ai vraiment aimé...!
Alors juste pour prolonger un peu ce bon moment sur ce blog, j'avais envie de vous diffuser cette chanson: Superfreak, de Rick James, que le film m'a rappelé (c'est celle sur laquelle la petite Olive danse pour le fameux concours).
Pour la petite histoire, la musique avait aussi été samplée par Mc Hammer, pour son (unique) tube Can't Touch This.
En ce moment j'ai dans la poche un lecteur un MP3 (que j'aime beaucoup!!), qui a été donné pour un test par euxà lui, et dont je parlerai sûrement bientôt par là...
Tout ça pour dire qu'il y avait certains morceaux déjà loadés, parmi lesquels Down Under, des australiens de Men at Work, ca sent bon les eighties et quand je suis dans ce "très convivial" métro parisien le matin, ça me permet de penser à autre chose !