Quand deux de nos chouchous se rencontrent on est logiquement obligés d'aimer!
Theophilus London dont on t'a parlé plusieurs fois prépare la sortie de son album Vibes (avec dans le rôle du producteur exécutif "lui", donc on imagine déjà le bruit que ça risque de faire
Si le trio sud-africain emmené par Ninja et Yolandi Visser (et, bien caché derrière ses platines, Hi-Tek) ne brille pas toujours par son excellence niveau son (et encore, même là on est réceptifs! Allez savoir...) il faut reconnaitre que visuellement ils ont su imposer leur marque de fabrique.
FKA Twigs se met en scène pour promouvoir les Google Glass!
A la fois actrice et réal pour cette pub en forme de court métrage, la chanteuse met en avant les atouts produits (vous avez dit Brand Utility?) avec en guise de bande son, deux de ses morceaux : Video Girl et Glass Patron.
New-yorkaise de 25 ans, Elle King a écumé les Etats-Unis avant de s'établir dans la Big apple. Elle débute sa carrière en se produisant à Brooklyn et Harlem. Son style musical va de la country au rock en passant par la soul et le blues.
La charmante Tove Östman Styrke nous revient avec un nouveau clip tout frais! La jeune suédoise qui avait été repérée dans Sweden Idol en 2009 (dans lequel elle s'était hissée à la troisième place du podium) nous présente la vidéo de Borderline premier single de l'EP éponyme qui sortira le 23 novembre prochain.
Le hip hop... Une musique que j'ai toujours aimée, pas pour tout les stéréotypes qu'elle véhiculait, mais pour cette capacité à jouer le rôle de griot moderne, mais plus pour les "histoires" qu'elle racontait.
Malgré toutes les merdes que ce mouvement à pu engendrer, malgré tous les préjugés dont elle a pu souffrir, j'apprécie cette musique au même titre que les très nobles Jazz ou Classique, que la Grande Variété française ou la bonne éléctro, que le rock à l'ancienne ou la Jungle...
Dans l'extrait suivant, de K.fear et Fredo (de la Brigade) j'aime le sample que je trouve TRES bon, et surtout j'aime l'esprit, bien loin des petites guéguerres importées des States comme ont pu nous les servir certains en France... J'aime assez aussi retrouver dans ce clip toutes ces têtes qui ont façonné l'histoire du rap en France: des incontournables NTM ou IAM, en passant par Sidney, Dee Nasty, le Minister Amer, les Little, ou encore Olivier Cachin dont l'émission (Rapline) était pour moi un rendez-vous incontournable et Aktuel Force l'une des troupes de breakers à la base du mouvement en France, etc.
Je l'ai dit et redit à maintes reprises sur ce blog (pour les trois ou quatre personnes qui me lisent régulièrement ;) chaque son et chaque artiste dont je parle ici me rappellent un moment, une période ou une personne en particulier...
Vous devez le savoir cette semaine c'était Noël (oui oui sérieux!)... Un Noël assez particulier pour moi, car (peut-être) le premier que je passais seul... Et j'entends d'ici les "oh le pov' chouchou... c'est trop triste"... Mais NON... c'est juste la vie, c'était à la fois agréable, particulier, perturbant, et nouveau pour moi qui ai toujours été habitué à être très entouré durant ma vie (que ce soit avec la famille, les amis, ou les chéries...)
Donc, moitié par choix et moitié par obligation, il s'est avéré que cette année c'est en tête à tête avec mes pensées que je l'ai passé...
Tout cela pour dire, que la mort d'un grand, que dis-je d'un monstre, que dis-je d'un génie du jazz, et plus largement de la musique, a participé à ma descente dans les abîmes les plus profondes de mes états d'âme...
Et là encore, j'entends d'ici: "oh non... c'est parti pour le mélo, je me barre de ce blog!"
Mais non! C'est juste que cet artiste que j'adore est pour moi synonyme d'une personne, dont les doigts ondulants entre touches noires et blanches m'ont envoûtés pendant toute l'époque durant laquelle j'ai observé leur ballet (et v'la ti pas que le chti bonhomme se veut lyrique!)
Tout ça pour dire que OUI, la musique c'est avant tout pour moi des souvenirs impérissables et que ceux qui concernent Oscar Peterson (certainement le plus grand Jazzman Canadien) sont à jamais inscrits au plus profond de mon être!
Voilà voilà.. ce soir j'ai aucune envie de vous faire sa bio, il y a Wikipedia et autres pour ça, on passe directement aux extraits, et quels extraits !
Ce matin... ..blotti contre une fenêtre (givrée)... ...d'un bus (bondé)... ...emmenant (à reculons)... ...mon cerveau (engourdi)... ...en direction du bureau, j'écoutais Devendra Banhart et en particulier Seahorse, qui collait parfaitement avec l'état d'esprit dans lequel je me trouve aujourd'hui...Du coup j'avais envie de vous le faire partagre ici.
Promis je refais un post au plus vite sur cet artiste et son groupe (que j'aime beaucoup) et qui font partie des véritables OVNIs d'une planète musicale beaucoup trop aseptisée et uniformisée (quelque soit l'univers musical concerné...) à mon goût.
(on remarquera au niveau instrumental, après le passage de l'intro, une cadence qui me fait beaucoup penser au rythme à 5/4 de Brubeck sur Take Five)
Pour ceux qui aiment, allez aussi voir son interprétation (très "personnelle") du classique Summertime sur l'Oreille en Feu
Je le redoutais déjà là... J'ai pleuré en y repensant là... Ca fait un an aujourd'hui... Plutôt que de partir dans le mélo je préfère ne me rappeler que de ton sourire en me fredonnant ça...
Il y a des airs comme ça qui vous restent dans la tête... Ce weekend je suis retombé sur ce passage énorme de Monsieur Dino, Dean Martin, interprétant Mambo Italiano (un titre écrit par Bob Merrill, en 1954)...
Et depuis samedi je n'arrive pas (je n'ai pas très envie...) à faire partir ces paroles de mon cerveau embrumé... C'est donc la bonne occasion de sortir ce blog de sa torpeur, avec trois extraits:
La version de Dean Martin, ma préférée, qui date de 1954
Un court extrait de l'interprétation originelle par Rosemary Clooney, aussi en 1954
Et en bonus, les versions (plus entraînantes) deGerard Darmonet de la grande Bette Middler
Je vous en avez déjà parlé ici... Le clip ("réalisé par Ramon&Pedro chez Partizan MidiMinuit (Michel Gondry)") est arrivé hier, en même temps que l'album.
Dimanche... Un beau petit weekend ensoleillé sur Paris, ça a été assez rare cette année pour le souligner, surtout quand on ne peut pas en profiter! Eh oui, demain rendez-vous client, un dossier à boucler, une présentation ppt à ficeler, je crois que je ne profiterai de ce ciel bleu qu'à travers ma fenêtre aujourd'hui...
Mais qu'importe! Dès le réveil ce matin du bon son bien à fond pour la motivation: Chinese Man Records! Ce nom ne vous dira peut-être rien...Et pourtant vous connaissez tous un de leurs airs qui constitue la bande son d'un spot télé qui passe en boucle, celui de la Classe A (mais oui, celui dans lequel la mam'zel est pieds nus...)
Je pourrai vous dire que le groupe nous vient du sud et que le label est basé à Aix... Je pourrai vous dire qu'on est au troisième EP, après The Pandi Groove, The Bunny Groove, c'est l'heure de passer à The Indi groove EP... Je pourrai vous parler des premiers clips du groupe (l'année dernière) qui donnent l'impression d'avoir été fait en dix minutes, mais sur lesquels le son est déjà TRES bon... Je pourrai, dans un pur style journalistique, friand de catégorisation, essayer de ranger Chinese Man Records dans la case electro, electro-dub, electro-hip hop, etc.
Je me contenterai de le ranger dans la case "j'aime beaucoup" et de vous dire que c'est l'un de mes très gros coups de coeur de la fin de l'été !
En vidéo:
le clip de Skank in the air, pour retrouver I've got that tune (la musique de la pub), ou encore Indi Groove qui donne son nom au maxi, c'est sur leur space que ça se passe (voir liens plus bas...),
Le clip de Pandi Groove sur le deuxième maxi,
Et en bonus pour le plaisir, et se faire à leur univers, une petite vidéo de leur tribulations à San Francisco...
Juste une vidéo en hommage à ce monstre de la musique qui nous a quitté la nuit dernière. Un extrait du premier acte de La Bohème de Puccinni (avec Mirella Freni) 18 minutes de Grande musique.
Un post dédié à un son que j'avais envie de passer depuis sa sortie (environ un mois).
Les chanteurs: Wyclef Jean des Fugees (en attendant leur album) et celui qui truste les premières place de la plupart des charts reggae/dancehall à chaque nouveau morceau (et auquel je consacrerai certainement un post d'ici peu) le déjanté Elephant Man.
Le son en question: Five O.
Et en bonus un morceau tout récent sur lequel ils sont aussi présents tous les deux: Shina Wine, le premier single du nouvel album de Sun, une artiste tout droit venue d'Asie, qui a remporté deux double platines de l'autre côté du globe.
Pour s'attaquer au marché US, elle s'est entourée de Wyclef et de ses ingénieurs... Le faiseurs de tubes haïtiens a en effet conquis la demoiselle après leur collaboration pour ce titre et s'est vu confier de facto la prod de tout l'album.
En train de bosser. Stop Juste en passant, une artiste que j'adore! Stop A découvrir d'urgence. Stop JOY DENALANE. Stop Métisse, de mère allemande et de père sud-africain. Stop Aussi BELLE que TALENTUEUSE! Stop
Les morceaux:
Let go, extrait du deuxième album de l'artiste Born and Raised, sorti l'année dernière
Heaven or Hell (en featuring: Raekwon du Wu Tang Clan) un morceau que je trouve vraiment beau
Alors, un peu en retard, mais voilà: dernier post de cette première "semaine thématique". Si tous les autres morceaux de la B.O. mériteraient leur post, c'est de l'adaptation de de la musique composée par Mikis Theodorakis pour un autre qu'il est question ici: Zorba le Grec.
C'est en effet avec ce qui est probablement le plus célèbre air de Sirtaki , et qui colle parfaitement au film, que l'on finit cette série. Les extraits, trois interprétations du morceau:
La première parcequ'elle m'a fait scotcher, c'est l'oeuvre d'un joueur de console qui s'est filmé pendanrt une partie de Guitar Hero
La seconde, par José Feliciano (dont je parlerai d'ici peu sur ce blog)
...Si ce n'est qu'il est 23h41... ....Depuis 18h30 pétantes le weekend a été annoncé à coup de Jack Daniels à l'étage où je bosse... ....5 minutes sur l'ordi.... ....Juste le temps de mettre en ligne ce son qui a squatté la tête des charts à son époque... ...Police And Thives, par Junior Murvin... ...Quatrième extrait de la BO de Lock Stock and two Smocking Barrels... ....Seul morceau de reggae sur l'album... ...Et, en bonus, la reprise, par les Clash.
Troisième post de la série, un miorceau dont je suis dingue: Eighteen With A Bullet!
Les interprètes Lewis Taylor (dont les disques sont très inégaux, mais qui a quand même été le premier chanteur de R&B, blanc qui plus est, à être signé sur l'incomparable label de Chris Blackwell: Island) et Carleen Anderson (qui a notamment posé sa voix sur les compositions des Brand New Heavies) que tout le monde se doit de découvrir!
Le titre 18 with a bullet a été repris au répertoire de Pete Wingfield, dont ça a été le plus grand succès (1975), pour les détails : voire les liens sous les vidéos!
donc on commence avec le clip de la version de Carleen Anderson et Lewis Taylor, et en-dessous, la bande son de celle de Wingfield.
Tu cherches les paroles...?
I'm eighteen with a bullet Got my finger on the trigger, I'm gonna pull it I'm picked to click now I'm a son-of-a-gun
So hold it right there little girl, We're gonna have big fun
I may be an oldie, but I'm a goodie, too I'll last forever and I'll be good to you Oh, yes I will
I'm eighteen with a bullet Got my finger on the trigger, I'm gonna pull it I'm a super-soul sure-shot, papa I'm a national breakout So let me check your playlist, mama Huh, c'mon let's make out
I'm high on the chart I'm tip for the top But till I'm in your heart I ain't never gonna stop Never, never baby
We got a smash double-header If we only stay together Talkin' 'bout you Talkin' 'bout me
(Do, do, do, do, do...)
I'm eighteen with a bullet Got my finger on the trigger, I'm gonna pull it Yes I will Be my A-side, baby, be beside me Right now, right now I'm a single But pretty soon you'll see We'll have a hit first time And won't be long we'll find That we're raising a whole L.P. Woo-hoo
You know I'm eighteen, woo-hoo, with a bullet Yes I am, baby I got my finger right there on the trigger I'm gonna pull it, pull it, pull it You better start makin' plans, baby This old house is too small, now, now, now
Deuxième son de cette semaine dédiée à la BO de Lock Stock, Mr James Brown, avec Payback (en intro d'un mini-medley). Pas grand chose à dire si ce n'est que j'adore cet extrait, sa coupe, sa moustache, le son, l'ambiance un peu à la Soul train, etc. tout ça est parfait!
A notyer aussi que James Brown est aussi présent sur la BO au travers d'un autre morceau: The Boss, et pour d'autres extraits du Godfather of Soul, voire aussi le post que j'avais fait il y a peu...
Il y aura désormais sur ce blog des "semaines thématiques", pendant lesquelles je ferai un focus sur un genre, un courant musical, ou encore un artiste, un album en particulier, etc.
Première édition donc avec une bande originale, dont je connaissais (et j'aimais) l'ensemble (ou presque) des morceaux, sans pour autant connaître la BO en ele-même: Lock, Stock, and Two Smoking Barrels, soit en VF: Arnaques, Crimes et Botanique.
Depuis que celui qui sévit sur les tables de poker en ligne du monde entier sous le pseudo de "JPLaBase"a uploadé la BO sur mon lecteur mp3 je n'écoute que ça! Donc je ne pouvais que vous faire partager cette bande son dont les morceaux vous rappellerons certainement (aux plus fans du film) différents passages de cette TRES bonne réalisation de Guy Ritchie.
Alors premier morceau que j'avais envie de partager ici, celui qui est interprété par l'incomparable Dusty Springfield, un air que vous connaissez tous sans aucun doute: Spooky. Je ne m'étenderai pas sur la bisexualité de l'artiste (dont on se fout complètement, mais qui l'avait, entre autres, poussée à s'exiler aux Etats-Unis), je n'aborderai pas non plus la question de ses addictions (à l'alcool et à de nombreux autres allers simples pour les paradis artificiels) même si elles ont été en grande partie la cause de sa disparition des ondes pendant un temps.
Je ne vous parlerai certainement pas de son come back, grâce au Pet Shop Boys, dans les années 80, puisque ce n'est pas l'époque à laquelle ses prods ont été les plus abouties à mon humble avis.
Et de quoi donc vais-je parler alors? Eh bien juste de sa voix que J'ADORE, des mélodies tour à tour empreinte de Soul, de Funk ou de son Jazzys, qui s'accordent à merveille avec sa manière de chanter.
Et pour se faire une idée, et constater ce talent, trois extraits incontournables, ayant tous les trois servis le casting de BOs de prestige:
On commence donc avec Spooky, tiré de la BO de Lock Stock
Deuxième vidéo: the Look of Love, qui a notamment servi à mettre en musique les exploits de James Bond
Et on fini avec un morceau d'anthologie remis au goût du jour par Tarantino pour Pulp Fiction: Son of a preacher man.
Talib Kweli, un des rappeurs les plus inventifs, aux textes les mieux écrits, et surtout qui s'inscrit dans une mouvance bien loin des clichés du rap US, arrive avec son nouvel album (dans les bacs mardi).
Premier extrait de Eardrum donc: Hot thing. Pourquoi ce clip? Tout simplement parceque j'aime bien le son, et surtout que le petit clin d'oeil à la campagne Personal Again de HP (mais si rappellez-vous, avec Jay-Z ou en encore Pharell) et assez réussi.
En passant, petit post en speed. Premier extrait de l'album solo à venir (le 25 septembre) du leader des Black Eyes Peas: Will I Am: I got it from my mama.
En connaissant les capacités du bonhomme (comme parolier et surtout comme producteur) on peut espérer que son album surpassera ce premier single. Je suis sûrement (un peu) méchant, mais bon. On va dire que ce n'est pas extraordinaire, mais que ça reste écoutable! Ou tout simplement que j'ai trop dormi et que je n'ai plus l'habitude faire des nuits de plus de 3h, que je suis donc complètement à l'ouest, un peu ronchon et que j'écris n'importe quoi du coup....
En tous cas, on voit que Fergie doit lui manquer: il s'est senti obligé de la remplacer par des danseuses de tous les côtés dans son clip... Vous me direz ça reste cohérent avec les paroles au moins, aperçu avec le refrain en VF:
"Bébé où as-tu eu ce corps? C'est ma môman qui me l'a donné"
Amis de la poésie et des textes recherchés, bonjour! Et on risque d'en avoir pas mal des comme celle-là sur l'album quand on voit le titre: Songs about grils. Ca n'enlève néanmoins rien au fait que je l'écouterai dès la sortie afin de me faire une idée, et que j'en reparlerai probablement ici.
En tous cas pour tout ceux qui se demandaient si le style de Will I Am venait d'un amour profond pour les friperies, s'ils avait besoin avec ses fringues de bien se faire remarquer dès qu'il sort ou si les paradis artificiels avaient altérés sont jugement et qu'il se mettait donc tout ce qu'il trouvait à disposition sur le dos: eh bien non! C'est de mode qu'il s'agit (apparemment...) il a en effet fait ses classes au très côté FIDM (Fashion Institute of Design and Merchandising). (euh... les cordonniers sont-ils toujours les moins bien chaussés...?). Il lance de plus ses propres collections très bientôt (pour les liens voir en bas), je sens que ça risque d'être assez étonnant.
Band of bees, ou The Bees, c'est au choix... Voilà un groupe dont je voulais vous parler il y a déjà un moment, mais ma phase léthargique ne m'y avait pas autorisé. C'est donc le moment de rattraper cette erreur et de parler d'une de mes découvertes faites en laissant traîner mes oreilles sur OUI fm.
Alors ce post est surtout dédié au dernier album du groupe, Octopus, sorti en mars/avril de cette année. Alors je vous mentirait si je vous disais que c'est pour moi l'un de mes groupes préférés, par contre certains morceaux sont vraiment excellents!
C'est typiquement le bon petit son qui s'accorde avec le trajet du métro du matin (et le cortège de faciès dégoûtés d'aller bosser qu'il draine...) ou encore en caisse sur le trajet de la plage!
Et en parlant de plage il y a comme un goût de Beach Boys, ou de petits rythmes californiens des années 60, voire 70, dans ce groupe qui nous vient tout droit de l'Ile de Wight. L'album laisse aussi apparaître quelques sonorités qui flirtent avec le reggae et parfois avec le jazz... En somme: un mélange et un universd qui me plaît!
Les extraits:
On commence par l'incontournable Listening Man, avec derrière la caméra Dominic Leung (voir dans les liens en bas du post pour ceux qui ne le connaissent pas...)
On enchaîne avec Who care what the question is
Et pour finir, Got to let go, en live, sur des images de leur tournée Anglaise (attention la fin de la vidéo est un peu...abrupte)
Allez: la rentrée c'est aujourd'hui sur Eklektik Musik ! Bon rentrée, rentrée... pas encore pris de vacances cette été (enfin cette année...ou plus précisément ces deux dernières années!) mais bon...! Pour cette saison je vous annonce: du live (filmé par votre serviteur, me remettre à bouger en concerts, festivals, petites scènes et autres soundsystems fait en effet partie de mes bonnes résolution pour la saison 2007/2008!), des bons oldies, et surtout des découvertes sorties de derrière les fagots!
Alors on commence avec ce qui sera pour certains une découverte, tandis que pour d'autres ce sera "juste" la sortie du nouvel album d'un très bon artiste : Fink ! Quand on sait que le jeune homme est produit chez Ninja Tune, on comprend directement que ça ne peut être que du très lourd!
A ce propos, rendez-vous pour tous les amoureux de ce label incomparable au Batofar le 1er septembre prochain! Avec notamment à l'affiche: Herbalizer, Bonobo ou le Ping Pong Crew... ! (on clique sur le flyer pour en savoir plus;)
Fin de la parenthèse ninja, on revient à Fink. Donc, nouvel album sorti lundi (c'est du tout frais!). Distance and Time est donc le troisième album de l'artiste, après Fresh Produce et Biscuit for Breakfast sorti lui l'année dernière.
Ce nouvel opus s'inscrit dans la même lignée que le précédent, à savoir principalement acoustique (gratte pour Fink, bass pour Guy Whittaker et batterie Tom Thornton) tandis que Fresh Produce était clairement plus éléctro. C'est avec les morceaux de Biscuit for Breakfast que j'ai découvert cet artiste que j'aime vraiment beaucoup.
Des rifs simples, une voix que j'aime bien et une écriture qui vient compléter la palette des couleurs de ce joli tableau que nous peint Fink à chaque nouvelle sortie (euh oui, oui, j'ai tenté la petite métaphore filée la dessus...). Bon comme souvent, avec le son british qui me plait, c'est du made in Bristol.
Alors, une seule chose pour conclure: à découvrir très vite!!! Les extraits pour vous faire une idée:
On commence avec celle qui était jusque là ma préférée Pretty Little Thing (sur Biscuit for Breakfast) en live à Rotterdam. La vidéo enchaîne avec Sorry I'm late du même album.
This is the thing, premier single de Distance and Time. Je n'ai pas réussi à trouver de vidéo de If Only, que je ne saurais que trop vous conseiller d'écouter en priorité.
Biscuits, titre qui a donné son nom à l'album précédent.
Et pour finir: Pretty little thing, mais en version studio cette fois (pas de clip, plan fixe)
Bon, après avoir hésité à fermer ce blog pendant ce petit mois de slowblogging, je me suis rendu compte que ça serait malheureusement impossible! Chaque jour qui passe j'ai envie de poster ici des sons que je viens de découvrir, des airs qui me reviennent en tête, etc.
Donc normalement, je suis reparti pour un rythme plus régulier...
MC Solaar... A la sortie du 1er single, écouté d'une oreille distraite, ce Da Vinci Claude ne m'a pas convaincu. Mais après l'avoir rapidement réécouté, et surtout après le deuxième clip vu la semaine dernière, Clic Clic, tous ces morceaux que j'avais pu aimé il y a...13 ans maintenant (!) me sont revenus dans la tête!
Ce qui m'est revenu en mémoire c'est aussi ce reportage qui doit date de 1990 (je crois...), tiré de 24 Heures. Cette émission (aujourd'hui disparue) qui était la vraie première production de l'agence CAPA pour CANAL+ nous présentait cette année là Public Enemy(que j'adorais) à l'occasion de leur concert au Zenith de Paris. J'avais 11 ans... et j'ai regardé ce reportage environ 1000 fois!
C'est à ce moment là que j'ai découvert Solaar, encore totalement inconnu, qui se rendait au concert avec quelques potes et qui faisait partie des personnes suivies durant ces 24heures qui entourraient le concert. Ce sénégalais d'origine (j'habitais à l'apoque à Dakar...) a tout de suite attiré mon attention avec son freestyle qui était en fait la base d'un morceau qui allait figurer sur son premier opus!
Bon tout ça c'était pour la petite histoire... Le plus important c'est que comme beaucoup, Qui sème le vent récolte le tempo, son premier album est resté dans mon walkman (eh ouais!! pas de Samsung K3 ou de Ipod à l'époque!!) pendant un long moment et fait partie, quoi qu'en pensent certains, des standards du Rap français.
Alors même si ceChapitre 7de Solaar n'arrivera jamais au même niveau, il a au moins le mérite de me remettre toutes ces musiques dans la tête et de me refaire penser à cette époque... (Et une chose est sûre ce mec ne change pas physiquement, c'est impréssionnant!)
Ceci dit, les extarits:
On commence parclic clic, dernier extrait de chapitre 7. J'aime assez, petit refrain et rythmique simples mais efficaces... Avec des "lyrics conscients" comme aime les donner le monsieur. Ce clip, du tee-shirt rouge, au décor cubain (enfin je crois..?), en passant par la charmante mamzelle, ou le choix des mots, me rappelle vraiment Caroline qu'on retrouvera après.
Et on enchaîne avec deux morceaux qui sont gravés à jamais dans mon esprit Caroline et Victime de la Mode. J'aurais pu en passer dix autres, à commencer par le fameux Bouges de Là, mais ces deux là résonnent différement dans ma mémoire! Je me rappelle comme si c'était hier de cette époque où pas plus haut que trois pommes (enfin c'est une expression, parceque je suis toujours aussi petit plus de 10 ans plus tard!!!) je reprennais ces:
"ma tactique attaque tous tes tics avec tact dominique pas de panique écoute bien ce funky beat"
ou encore
" Claude MC prend le microphone, genre love story raggamuffin Pour te parler d'une amie qu'on appelle Caroline. Elle était ma dame, elle était ma came, elle était ma vitamine, Elle était ma drogue, ma dope, ma coke, mon crack, mon amphétamine, Caroline..."
Bon je sais, je ne suis pas très présent sur ce blog en ce momet, s'il y a bien une chose que je ne veux pas faire c'est de me forcer à poster ici.
La musique? Avant tout une histoire de plaisir, et pas du tout envie d'en faire une contrainte!
De plus en ce moment je suis à la recherche de mon cerveau et de quelques neurones afin de faire fonctionner tout ça, et je vous avoue que ça n'est pas très facile!
Enfin bon, en passant un petit son que j'avais envie de mettre depuis un moment déjà: New York I Love, par LCD Soundsystem.
J'essaye souvent de vous faire partager ici toutes les sensations que peuvent me procurer un bon groupe/interprète, des paroles en particulier, un univers musical précis, etc.
Pour les deux véritables OVNI dont traite ce post, j'ai juste envie de dire qu'ils... me laissent sur le cul !
Que ce soit la dextérité au AirTap de Mongrain, ou la dextérité tout court de Stanley Jordan, je suis véritablement en admiration devant ces musiciens!
Voilà tout ce que je pourrais dire de plus serait superflu! Alors place aux artistes! Ah non, juste une chose à préciser: Stanley Jordan sera normalement au New Morning le 21 de ce mois, alors ça pourrait être une occasion de se croiser et de faire connaissance !
Rokia Traoré, voilà une artiste à laquelle j'ai directement accroché après la première écoute de son album Mounaissa, qui remonte à presque dix ans déjà.
J'aime à la fois sa voix et les instruments traditionnels (n'goni, percus, balafon) qui l'accompagnent et me replongent dans mes souvenirs africains tout en créant une atmosphère vraiment unique!
Pour la petite histoire, elle a été découverte en 1997 en étant lauréate de Découverte RFI Afrique, et entre temps la jeune malienne a véritablement réussi à s'imposer comme l'une des artistes les plus talentueuses et les plus appréciées de la nouvelle scène africaine.
L'extrait, un medley de 8minutes en live tiré du Womad (World of Music, Arts and Dance) 2004.
Voilà un artiste dont je n'avais pas encore entendu parler: Alborosie. Pourtant le chanteur, d'origine italienne, qui est installé en Jamaïque avait apparemment fait parler de lui l'année dernière avec un titre qui avait été interdit de diffusion pour cause de Lyrics trop explicites (ah l'apologie...).
Notons que le m'sieur est aussi producteur et que certains de ses instrus sont en train de connaître un succès important sur la scène reggae internationnale, à commencer par la Jamaïque! Les extraits:
Kingston town,
Herbalist, le titre retiré,
Et XXL, un morceau produit par Albarosie, et sur lequel on retrouve en guest: Beenie man, Tonte & Devonte, Voice Mail, ou encore Sizzla! Excusez du peu...
Apocalyptica: je ne connaissais pas il y a une semaine encore (merci m'sieur Zee) et je n'ai pas grand chose à dire dessus, si ce n'est que personnellement je trouve ça impréssionnant! Le violoncelle utilisé de cette manière je n'avais pas entendu jusque là. Pour moi c'est classé directement en catégorie Ovni...
Les extraits: on commence avec une reprise de Enter Sand Man (de Metallica) en live, et on enchaîne avec plus de douceur avec Farewell que j'aime vraiment beaucoup.
J'aurais déjà du vous parler de Nosfell depuis l'ouverture de ce blog, tant sa voix et sa musique font parties de mes préférées.
Nosfell, pour moi c'est plusieurs choses :
Avant tout, une voix hors normes (avec des variations impressionnantes) qui me touche réellement;
Mais aussi de grands instrumentaux, en duo avec son violoncelliste: Pierre Lebourjois;
Ou encore un univers particulier que j'aime beaucoup, pour un artiste d'une scène rock française parfois trop sclérosée et fondue dans un moule;
Enfin Nosfell c'est aussi une frustration pour moi: ne pas encore l'avoir vu en Live, et quand on voit ce que ça peut donner, je me dis qu'il faut absolument que je me rattrape cette année!
Alors les extraits, tirés de ces deux albums, Pomaïe Klokochazia balek et Kälin Bla Lemsnit Dünfel Labyanit:
Jaun Sev' Zul
Jalin Madaz, en live à Beaubourg
Sladinji, The Grining Tree, en live pour l'émission Des mots de minuit
Alors avant tout: désolé! Désolé d'avoir raté, sur ce blog, la Fête de la musique... Mais disons qu'une journée de boulot acharné, enchaînée d'une soirée qui se termine par une douche dans des vapeurs d'alcool à 7h avant de repartir pour une nouvelle journée, ce n'est pas le programme idéal pour pouvoir bloguer!
Enfin bon, encore une semaine de rush au travail et je devrais reprendre un rythme normal...(on peut toujours rêvé, non ;). D'autant qu'en ce moment j'ai plein d'artistes, de morceaux, de découvertes que j'aimerais partager ici!
Alors pour ce post, j'avais juste envie de vous faire découvrir, ou apprécier (si vous la connaissez déjà) la voix de Sandra Nkake. Pour tous ceux à qui les Nuits Zébrées diront quelque chose, et à tous ceux qui laissent leurs oreilles vagabonder de temps en temps du côté de Radio Nova, ce nom ne sera pas inconnu !
Je vous laisse vous faire votre avis, en tous cas moi depuis le début de l'année: je suis fan! J'attends juste le premier album avec impatience...! Le morceau: Sex Friend... et c'est du LIVE!
Le blog? Au départ, un journal intime. En tous cas, c'est une vocation que remplit peut-être ce post, derrière de faux airs de "bonne fête papa"....
En commençant ce blog j'écrivais que "Depuis mon plus jeune âge la musique avait bercé ma vie", ce que j'aurais du plutôt dire (dans un soucis de précision) c'est qu'à chaque moment de ma vie, correspondent une chanson, un artiste. Et à l'inverse, toutes les musiques, tous les groupes que j'écoute me rappellent un période précise, une personne rencontrée, une soirée, une année, un état d'âme, etc.
Aujourd'hui, c'est la fête des pères... Forcément ça me replonge dans plein de souvenirs, bien évidemment dans tous ces bons moments passés, mais aussi dans ce jour gravé dans ma mémoire à jamais...
Un mardi matin arrivé au boulot avec une impression bizarre, avec un pressentiment, une appréhension, aussi indescriptible que très désagréable... Un mardi qui m'a fait partir de ce même bureau au bout de 20 minutes suite à un appel dont je me souviens de chaque mot... Un mardi de novembre après lequel rien ne serait plus pareil... Un mardi durant lequel j'ai mis de côté le grand gamin que je suis 90% du temps pour laisser place à un 10% "d'Homme", d'Adulte, qui se doit de soutenir sa petite maman... Un mardi après lequel j'allais passé cinq jours sans dormir une seule seconde...
Ce tristement fameux mardi, a commencé par un périple dans paris (avec les yeux embués et les jambes qui flanchent) pour trouver un billet d'avion en urgence, rentrer dans mon appart', mettre deux chemises dans un petit sac et aller à l'aéroport.
Et, même dans ce moment si particulier, je n'ai pu m'empêcher de passer chez le disquaire de l'aéroport pour me procurer une dose de ma drogue préférée: la musique!
Là, par le plus pur des hasards, une pochette épurée qui m'attire l'oeil, un album dont je n'avais pas du tout entendu parler: c'était bon, j'avais trouvé mon anti-dépresseur pour cette semaine pendant laquelle les émotions allaient s'entrechoquer.
Sinead O'Connor, Throw down your arms.
Je vous reparlerai de cet album et de son interprète dans la semaine (... ou pas), mais dans ce post focus sur une chanson en particulier: Jah Nuh Dead. Je n'avais jamais entendu cette reprise du morceau mythique de Burning Spear dont bizarrement je vous parlais à peine deux semaines avant ce mardi 28 novembre 2006...
Pour la faire courte, et parceque, si je ne me retenais pas, je pourrais écrire un livre entier sur ces quelques jours de ma vie, je dirais juste que la voix de la chanteuse et les paroles de cette chanson sont passées en boucle dans mes oreilles durant toute cette semaine.
Une nuit en particulier, la seule durant laquelle (caché au fond de ma chambre que je redécouvrais après presque deux ans loin de la maison familiale) je me suis autorisé à pleurer toutes les larmes de mon corps... une nuit pendant laquelle des milliers de moments de vie me sont passés dans la tête... une nuit pendant laquelle je laissais tomber mon masque de grand garçon qui essaye de faire rire sa mère pendant ce qui était à coup sûr le moment le plus dur de sa vie... Eh bien durant cette nuit, c'est cette chanson qui est véritablement passée en boucle dans mon casque, avec le son au maximum pour m'éviter à moi-même d'entendre mes sanglots.
J'avais donc envie d'en passer un court extrait ici (ce n'est pas la version CD, c'est un live, avec peut-être moins d'intensité que l'enregistrement studio, mais il donnera un bon aperçu...). Et ensuite, la version de Burning Spear dans Rockers (1978).
Euh... rien de spécial à dire... pas très présent sur le blog ces temps-ci, beaucoup de boulot, beaucoup (trop) de sorties, etc. Mais je vais arranger ça cette semaine!
Alors, j'avais juste envie pour bien commencer cette nouvelle semaine, d'un peu de quiétude, de paroles bien positives, de l'inimitable voix de Monsieur Louis et de ses mimiques que j'adore pendant qu'il chante!
Alors dans le genre post succinct, là on va avoir un bon exemple devant les yeux ! Cette chanson, The Girl from Ipanema, fait partie de celles que j'arriverai jamais à décrire mis à part en me contentant de faire un sourire béat, mais ô combien significatif..
Je m'arrêterai donc à cette citation (trouvée sur Wikimachin) qui laisse rêveur, extraite du livre de Vinicius de Moraes, celui qui est à l'origine de la chanson (pour les paroles) tandis que Tom Jobim en a écrit la musique:
« le paradigme de la Carioca pure et dure : une fille bronzée, entre la fleur et la sirène, pleine de lumière et de grâce mais avec un fond de tristesse, aussi portait-elle en elle, sur le chemin de la mer, le sentiment de ce qui passe, d'une beauté qui n'est pas seulement nôtre — c'est un don de la vie que son bel et mélancolique flux et reflux permanent. »
Les extraits (et le choix a été difficile! Que ce soit Elisete, ou encore Astrud Gilberto et Stan Getz, de nombreuses versions auraient pu figurer ici...) :
Pour enchaîner: ENORME coup de coeur. Elis Regina et au piano l'imcomparable Hermeto Pascoal. Une interprétation incomparable certainement due à cette scène tout aussi imcomparable qui accueille ce pure moment de musique et de bonheur: le Montreux Jazz Festival (et en plus en 1979, une année magique :)
Hier, j'ai assisté par hasard à un showcase à la Fnac Saint-Lazare. L'artiste? Philemon, jeune rappeur nantais. Le concert? Un très bon moment..!
Dans un deuxième temps, écoute de l'album, L'Excuse, et là: très bonne surprise. Un rap intelligent, mais surtout des instrus vraiment très bons. Oscillant entre rythmes jazzys et scratchs efficaces, entre samples et sons de tambours africains. Pour reprendre sa propre définition de sa musique: "de l'urban jazz".
Si Philemon assure des performances live abouties c'est aussi et surtout parcequ'il a été formé à l'école des battles. En effet (comme les accros de la scène de clash de 8miles le savent) la France n'est pas en reste à ce niveau là du rap non plus. Et le rappeur originaire du Congo fait partie depuis plusieurs années maintenant des figures de proue des différents tournois. Et de cette expérience du freestyle et des clashs, ses morceaux ont gardé des rimes aussi drôles que percutante.
Bon j'arrête là et on passe aux extraits. A ce niveau là un seul regret, ne pas avoir trouvé de vidéo des morceaux que j'ai préféré et qui témoignent le mieux du niveau de l'album...
On commence avec On dit quoi? premier single de l'album;
On poursuit avec 3ple Bachelor;
Et pour finir et se faire quand même une idée sur les autres titres présents sur L'excuse, différents titres dans un medley de sa performance live au Reservoir en mars dernier.
Je vous avez déjà parlé de Pink Martini une nuit de novembre dernier (c'est fou ce que ça passe vite!) pendant laquelle je grinchais (une de mes spécialités :) pour de petits détails futiles...
Je ne vous referai donc pas l'article... Mais juste quelques lignes pour vous signaler la sortie de Hey Eugene leur nouvel album.
Alors, outre la pochette que j'aime beaucoup, comment résumer ce troisième album? Peut-être en disant simplement que j'aime toujours autant, que la voix de China Forbes me fait encore le même effet indescriptible et que le jeu de piano de Thomas Lauderdale m'impressionne toujours autant.
On notera des reprises de Syracuse de Salvador (j'adooooore), de Abdelhalim Hafez (un monument de la musique arabe), etc. En effet la très charismatique chanteuse de Pink Martini se permet des interprétations en Anglais (évidemment...) mais aussi donc en français, en portugais, en arabe, et même en japonais...Rien que ça!
Bon voilà, maintenant un petit extrait: Hey Eugene, le titre qui a donné son nom à l'album, et je ne peux pas m'empêcher de mettre aussi une interprétation en live très intimiste de Sympathique.