Quand deux de nos chouchous se rencontrent on est logiquement obligés d'aimer!
Theophilus London dont on t'a parlé plusieurs fois prépare la sortie de son album Vibes (avec dans le rôle du producteur exécutif "lui", donc on imagine déjà le bruit que ça risque de faire
Si le trio sud-africain emmené par Ninja et Yolandi Visser (et, bien caché derrière ses platines, Hi-Tek) ne brille pas toujours par son excellence niveau son (et encore, même là on est réceptifs! Allez savoir...) il faut reconnaitre que visuellement ils ont su imposer leur marque de fabrique.
FKA Twigs se met en scène pour promouvoir les Google Glass!
A la fois actrice et réal pour cette pub en forme de court métrage, la chanteuse met en avant les atouts produits (vous avez dit Brand Utility?) avec en guise de bande son, deux de ses morceaux : Video Girl et Glass Patron.
New-yorkaise de 25 ans, Elle King a écumé les Etats-Unis avant de s'établir dans la Big apple. Elle débute sa carrière en se produisant à Brooklyn et Harlem. Son style musical va de la country au rock en passant par la soul et le blues.
La charmante Tove Östman Styrke nous revient avec un nouveau clip tout frais! La jeune suédoise qui avait été repérée dans Sweden Idol en 2009 (dans lequel elle s'était hissée à la troisième place du podium) nous présente la vidéo de Borderline premier single de l'EP éponyme qui sortira le 23 novembre prochain.
Livraison aujourd'hui de ce qui doit être l'un des gros (si ce n'est le plus gros) sons Reggae de ce début d'année! Il est l'œuvre de Yard Vybz Ent. qui va faire sans aucun doute parler de son Captain Riddim (sorti fin janvier).
On retrouve en effet rien de moins que Sizzla, Tarrus Riley, Jah Cure, Pressure et Wayne Marshall, de quoi assurer un bon coup de projecteur sur cette prod. particulièrement léchée. Pour la vidéo, Môsieur Winston "Tyson" Mayhew a fait tourner ses caméras du côté de St. Andrew pour un clip sans bling bling, bien brut.
Allez pousse le volume, et apprécie moi ces basses!
Gros de coup de cœur que ce duo aux faux airs de groupe folk américain des années 6O/70. June & Lula nous a livré en fin d'année un album (que je n'ai absolument pas vu passer... Sixteen Times) en forme d'agréable ballade guidée par deux voix enivrantes que des arrangements particulièrement épurés mettent en lumière à merveille. Une ballade faite de petites histoires parfois drôles parfois plus graves mais toujours avec en filigrane un sentiment de légèreté, et une dose de sensualité indéniable... Gageons que du haut de leur vingtaine à peine entamée, ces deux parisiennes vont nous réserver encore de belles productions.
Avant la next tep (les voir en live dès que possible...) on va se faire plaisir avec une petit aperçu de ce que ça donne, j'aurai pu diffuser les live de Tarata, avec ZazieouJoe Cocker (ça doit être impressionnant de se retrouver comme ça face à une voix, une légende, de cette acabit...) ou encore le premier single de l'album, My Girl. Je leur ai préféré Lonely Guys Blues, romance saphique au rythme entrainant.
[extrait des...] Paroles:
I got the blues Got the blues Baby
Let me tell you That when I met you I was staring at the boys Playing guitar, singing beautiful love songs And looking at me with some stars in their eyes But you’re such a beautiful woman With such a beautiful voice Even if you don’t play the guitar Felt something moving in my panties
Got the blues I got the blues Got the blues Thinking of you
Let’s pretend that I’m a boy When I see you, I feel joy My baby let me tell you I’m in love with you Let me sing again all my love for you When I see you I feel in my heart Such a great emotion I can’t believe it I got the blues What if I tell you I’m a poor little girl who loves a woman
3 janvier. 4h du matin. Fenêtres grandes ouvertes, un vent froid me caresse violemment... Pendant que la fumée envahit fatalement mes poumons et que je m'abreuve d'écrits anonymes (ou pas...) aussi poétiques que prenants déversés sur la Toile. Mes pensées s'emballent. Les souvenirs de l'année écoulée s'entrechoquent sans aucune logique, un peu à la manière des événements désordonnés qui leur ont donné naissance.
Joies intenses. Peines déchirantes. Démons qui s'enfuient. Puis reviennent. Projets entrepris. Échecs. Réussites incroyables. Tout cela semble déjà si lointain. Rencontres hallucinantes. Amitiés parties en fumée, emportant dans leur sillage les regrets que cela aura du générer. Amitiés devenues plus que fraternelles. Nuits parisiennes. Soirées interminables. Abus exquis. Dérapages mal gérés. Prises de conscience, maturité, épanouissement. Et le cœur... Parfois brisé. D'autres fois simplement incontrôlable. L'étonnement, la fierté déplacée, la douce incrudilité d'arriver à faire succomber un ange. Le voir s'envoler. Et cette sensation passagère qui me brule agréablement les veines. La vie.
A peine fini que c'est déjà reparti pour un tour. Et pour accompagner les balbutiements d'une année qui apportera encore son lot de surprises, de contradictions, une voix singulière. Quelques notes. Un visage que j'adore. Le volume poussé au maximum pour bercer mes pensées. Une musique qui me touche simplement. Jessica Lea Mayfield, kiss me again (nouvel album à venir en février).
Avant de repartir, n'oublie pas d'emporter tous mes vœux pour cette nouvelle année..
Pour bien commencer la journée, parce que j'aime beaucoup ce morceau, mais aussi en guise de joyeux anniversaire: je vous souhaite plein de belles choses mam'zelle...
En passant et pour te mettre dans l'ambiance de la soirée qui t'attends: dernier clip de Don Rimini, What Ever. À la prod on retrouve Elegangz, et pour la réalistion Lionel Hirlé et Grégory Ohrel (qui se sont notamment illustrés avec le clip du remix de Booba par Yuksek...).
On oublie pas que le maxi Nlarge your parties (sorti cet été) est toujours dispo et que le 18 décembre tu pourras bouger ton popotin avec un live à la Machine (Moulin Rouge).
Après sa déconvenue sur le chemin de l'élection présidentielle Wyclef nous prépare une galette en forme de tribune politique. Le 6 titres, If I Were President : The Haitian Experience, est prévu pour le 7 Décembre.
D'ici là, Election Time nous donne un aperçu de son contenu. Tu peux aussi suivre son combat sur son blog, mais aussi et surtout sur Twitter, espace sur lequel il est particulièrement actif.
[extrait des...] Paroles:
Election time is coming!
Come on! We’re O.K.!
As long as we got music we can party all day!
It will rock Youtube, we will rock all day, day, day…
Election time is coming!
Immigration, socialism, capitalism,
Racism, health care, welfare,
Seems that nobody cares.
E-business, corporation, small business, taxation,
Avec ses faux-airs anglais, ce natif de Brooklyn au flow que j'aime particulièrement fait beaucoup parler de lui depuis un an. Il y a ceux qui ne voient que la ressemblance avec Kid Cudi ou Kanye West. Ceux qui adorent son style à la croisée des chemins d'univers allant de la new wave au punk en passant par la pop ou le hip hop. Ceux qui critiquent les samples et autres reprises (Fugees, Whitney Houston, Dolly Parton, etc.) omniprésents sur ses deux mix tapes. Etc.
Personnellement, j'aime. Pas tout certes. Mais ses influences musicales, son flow (je sais je l'ai déjà dit), l'image léchée de ses clips qui semblent tout droits sortis des eighties, tout ça laisse présager du très bon pour la suite. Theophilus London nous a en effet livré au compte-gouttes ses prods comme autant de cailloux pour nous mener vers la sortie de son premier vrai album (tout début 2011) que j'attends avec une certaine impatience.
D'ici là petit tour d'horizons en commençant par le dernier petit caillou en date -sorti la semaine dernière- Flying Overseas. Excuse toute trouvée à ce post que je voulais faire depuis un moment... même si ce morceau avec en featuring Solange Knowles et Devonte Hynes n'est pas mon préféré.
Je vais par exemple lui préférer I want you, sorti cet été. Pour la mise en image il fallait rivaliser avec l'ambiance sexy, c'est donc l'excellente Va$htie (qui a bossé notamment avec Jadakiss, Cudi, Fait Evans, etc. et qui a lancé les soirées "1992" à New York).
On poursuit avec deux extraits issus des mix tapes qui l'ont fait connaître Jam! et The charming mixtape, à savoir: Humdrum Town et Hey wonderful qui nous ballade dans les ruelles du Quartier Rouge...
Pour finir deux vidéos OVNI pour mieux connaître le personnage. La première: interview en mode détendue réalisée la semaine dernière par des étudiants de l'excellente université de Duke pour leur Duke Student Broadcast. Ensuite petite démo de ses pas de danse fétiches par un Theophilus à fond dedans...
Depuis son Dance at my funeral -sorti il y a déjà un an- l'album de l'excellent Teron Beal s'est fait attendre ! Pour la dernière ligne droite jusqu'à la sortie (le 8 octobre) il nous a livré en début de mois un nouvel extrait de Liquor Store: New Girl.
Comme pour le précédent opus le (très bon) clip est l'oeuvre des suédois de Kamisol qui bossent par exemple régulièrement avec Promoe.
Nouvel épisode de la série des reprises... Mise en situation: Cette après-midi... Du fin fond d'un parc dans Paris... Les forces en présence: un mac, un casque, une pelouse, des jupes légères, un grand soleil et Quizas dans les oreilles en boucle!
J'avais envie de faire un post sur ce morceau inclassable depuis longtemps. Il y a dix piges déjà, dans un parc de Reuil Malmaison, deux grattes sortant des notes approximatives, c'est avec des sourire amoureux que l'on se murmurait les paroles de cette chanson...
Environ deux heures d'écoute (ennivré par le soleil et la chaleur) d'un nombre inclassable de reprises de ce morceau, juste pour t'en sortir quatre. On commence par deux des plus intenses: Nat King Cole (avec des scènes que le morceau habille dans In the mood for love) puis un court extrait d'Ibrahim Ferrer et de Omara Portuando. On passe ensuite à la version anglaise (Perhaps, perhaps, perhaps) avec Doris Day puis les Pussy cat dolls.
[extrait des...] Paroles:
Siempre que te pregunto Que cuando, como y donde Tu siempre me respondes Quizas, quizas, quizas
Y asi pasan los dias Y yo desesperado Y tu contestando Quizas, quizas, quizas
Estas perdiendo el tiempo Pensando, pensando Por lo que mas tu quieras Hasta cuando, hasta cuando
Y asi pasan los dias Y yo desesperado Y tu contestando Quizas, quizas, quizas
Ah Ziggi Recado! Il y a un bon moment je t'avais parlé de reggae italien. En effetAlborosie, avec ses différentes tournées et ses places de numéro 1 au classement de singles en Jamaïque, s'est forgé une place d'honneur sur la scène reggae internationale.
Depuis 2006 au niveau européen un hollandais est aussi en train de se bâtir une sérieuse réputation! Ziggi nous a en effet livré deux albums dont les morceaux tournent encore régulièrement en sound systems. En attendant sa prochaine production, il nous fait patienter avec un mini album de grande facture: Same Difference. Il y propose un reggae bien lourd et totalement en phase avec son époque le tout porté par sa voix que j'aime beaucoup.
Le jeune homme qui a grandit dans les Antilles Néerlandaises avant de rejoindre sa mère en Hollande montre clairement son évolution avec ces nouveaux titres. Pour se faire une idée: Baddest (version clip et live), le clip du très enfumé Joka Smoka et on fini avec Need to tell you this de l'album précédent pour comparer...
Je n'ai découvert que très récemment Anna Calvi au travers des vidéos qu'elle diffuse sur la Toile. Dès les premiers accords j'ai su que j'allais accrocher... quelques semaines plus tard je me rend compte que ce n'était qu'un euphémisme!
Je ne tomberai pas dans le jeu des comparaisons. Je comprends que des noms tels que PJ Harvey, Patti Smith ou Jeff Buckley aient été dans tous les esprits à la sortie de l'un de ses concerts auquel j'ai eu la chance d'assister. Pour moi elle dégage quelque chose de très personnel, voire d'unique.
Cette jeune demoiselle m'a réellement donné des frissons, son visage et son regards sont pour moi aussi sublimes que sombres et sa voix vient compléter un tableau aussi excitant et sensuel que perturbant par moments! Le trio qu'elle forme avec Mally Harpaz et Daniel Maiden livre une musique intense et entêtante. Mais au-delà de ça cette chanteuse dégage quelque chose que j'ai vraiment du mal à définir mais que j'aime profondément.
En résumé, elle a un charme impressionnant, un charisme qui suffit a te captiver durant toute la prestation, et surtout des compositions tour à tour séduisantes ou mystiques. Bon j'arrête là mais tu auras compris que je ne serais pas contre un concert privé en tête à tête avec cette belle italienne (qui a grandi à Londres)...
Il va falloir attendre la rentrée pour découvrir le résultat de son travail en studio à paraître sur son premier album distribué par Domino Records (Franz Ferdinand, The Kills ou Arctic Monkeys). Le succès sera sans aucun doute au rendez-vous pour sa musique qu'elle définit comme suit :
I see my songs as mini films; I want to take the listener into another world for the space of a song. I always want to create a real sense of atmosphere. It is really important to me that the music dictates the story as much as the lyrics do - much like a film score. Both musically and visually I want to evoke a sense of passion, I'm interested in portraying romance which at the same time feels mysterious and sometimes dark
Tu vas pouvoir te faire une idée avec une reprise de Surrender d'Elvis (paroles below... on finira le post avec la version du King) puis un passage que j'aime beaucoup pour une interprétation de Joan Of Arc de Leonard Cohen, et on fini avec un titre live : I'll be your man.
[extrait des...] Paroles :
When we kiss my heart's on fire Burning with a strange desire And I know, each time I kiss you That your heart's on fire too
So, my darling, please surrender All your love so warm and tender Let me hold you in my arms, dear While the moon shines bright above
All the stars will tell the story Of our love and all its glory Let us take this night of magic And make it a night of love
Won't you please surrender to me Your lips, your arms, your heart, dear Be mine forever Be mine tonight
Environ deux semaines maintenant que j'écoute Brothers, le sixième album de Dan Auerbach et Patrick Carney. Si la première écoute a clairement fait son effet, sur la distance l'album devient carrément addictif.
Pour les puristes du groupe certains morceaux, certains riffs, inspireront sans nul doute les critiques par leur côtés pop, pour moi il n'en est rien! Le timbre d'Auerbach fait toujours merveille, l'écriture est bien présente et la musique à la hauteur.
Pour te faire une idée, on commence par Next girl (mon coup de cœur de l'album dont les paroles sont plus bas), Tightened Up (le premier single avec un clip trop meuuuugnon) et Your touch (qui me reste en tête, sortie sur Magic Potion en 2006).
On finira par l'excellent Hoochie Coo (Ain't Nothing Like You) tiré du projet Blakroc. Cet album sorti en fin 2009 mettait en effet à l'honneur une fusion Blues/Rap très réussie avec parmi d'autres Q-Tip, RZA, Raekwon, MOP ou Ludacris. Pour notre extrait, c'est un live du Letterman avec Jim Jones et Mos Def.
[extrait des...] Paroles :
Well, the look on the cake It ain't always the taste My ex-girl she had Such a beautiful face I wanted love But not for myself But for the girl So she could love herself
Oh my next girl Will be nothing like my ex-girl I made mistakes back then Il never do it again With my next girl ll be nothing like my ex-girl It was a painful dance And I got a second chance
Oh, a beautiful face And a wicked way And Im paying for her beautiful face Everyday All that work Over so much time If I think too hard I might lose my mind
Début mai Cocorosie nous livrait sa quatrième galette, Grey Oceans... Un avis?
Dans l'ordre:
Sierra et Bianca Casady ne sont pas encore sorties du monde parallèle (tour à tour idyllique, effrayant ou incompréhensible...) que leurs vies particulièrement décousues les ont amener à créer!
Certains de leurs sons, à l'instar de leurs concerts, ressemblent toujours plus à des expérimentation artistiques qu'à de simples chansons. Tous en tous cas seraient parfaits pour habiller musicalement un trip chamanique, ou un documentaire sur le lsd...
Ceci dit, comme pour les précédents opus j'aime vraiment beaucoup. Leurs voix restent envoutantes et leurs musiques enivrantes.
Pour te faire une idée, les clips de Lemonade (dont les paroles sont juste en dessous...) et de Trinity's Crying le titre qui ouvre l'album.
[extrait des...] Paroles :
It was Cinco de Mayo Pillow case on his head No more breathing time An ambulance sped It sped round every corner Calling out his name
Shot a rabbit from the back seat window Sat and watched in the summer corn row Ate ice cream in a desert dream Got love in father seeing you Too hot inside to hot outside Lazy days when you said just go for a ride We’ll sail on Spirit Lake, Me, my pappy, and his lemonade Tim and tina were my parents’ names
They got engaged they were inflamed Seduced by the lie of butterflies How they shimmer, how they glimmer Those butterflies
Pas grand chose à dire, si ce n'est que j'aime vraiment beaucoup ce morceau sorti sur leur album de 2007 Every Second Counts...
On notera juste deux anecdotes, la première : c'est pour une athlète universitaire, Delilah DiCrescenzo, pour laquelle il avait craqué que le chanteur a écrit ce titre. La seconde, pour les publivores: c'est le son qui habille la pub pour le C4 de Citroën...
[extrait des...] Paroles :
Hey there Delilah I'm a thousand miles away But girl tonight you look so pretty Yes you do Times Square can't shine as bright as you I swear it's true
Hey there Delilah Don't you worry about the distance I'm right there if you get lonely Give this song another listen Close your eyes Listen to my voice it's my disguise I'm by your side
Oh it's what you do to me Oh it's what you do to me Oh it's what you do to me Oh it's what you do to me What you do to me
Si tu te rappelles de Gym Class Heroesles tatouages et autres piercing le visage de TraviS (devenu TraviE depuis son passage en solo...) McCoy ne te sera pas inconnu...
Le môsieur lance son nouvel opus en solo cette fois. Premier extrait Billionaire avec (le très en vue en ce moment...) Bruno Mars en featuring. Un petit son tout tranquille, mais qui ne restera certainement pas dans les annales.
[extrait des...] Paroles:
I wanna be a billionaire so fucking bad Buy all of the things I never had Uh, I wanna be on the cover of Forbes magazine Smiling next to Oprah and the Queen
Oh every time I close my eyes I see my name in shining lights A different city every night oh I swear the world better prepare For when I’m a billionaire
Yeah I would have a show like Oprah I would be the host of, everyday Christmas Give Travie a wish list I’d probably pull an Angelina and Brad Pitt And adopt a bunch of babies that ain’t never had shit Give away a few Mercedes like here lady have this And last but not least grant somebody their last wish Its been a couple months since I’ve single so You can call me Travie Claus minus the Ho Ho Get it, hehe, I’d probably visit where Katrina hit And damn sure do a lot more than FEMA did Yeah can’t forget about me stupid Everywhere I go Imma have my own theme music
On a tous des refrains, des chansons, qui déclenchent en nous l'irrésistible envie de chanter à tue-tête (et pas toujours très juste, mais passons...). En bonne place parmi les miennes, figurent ce Bankrobber des Clash, un titre qui n'apparait sur aucun de leurs albums studios, mais qui sortira sur la compilation Black Market Clash.
À la base je comptais publier ce post il y a déjà un moment à l'occasion de la sortie du film Rocknrolla. En effet, à l'instar de ses autres films le dernier Guy Ritchie en date bénéficie lui aussi d'une bande originale de très grande qualité! Une marque de fabrique un peu à la manière de Tarantino!
Je t'en avais d'ailleurs déjà parlé il y a bientôt trois ans, avec la B.O. de Lock, Stock and Two Smocking Barrels, les 18 with a bullet, Police and thives (avec là aussi les Clash...) ou encore le thème de Zorba venaient apporter tour à tour une profondeur, un atmosphère décalée ou au contraire dramatique aux actions et aux personnages. Il en est de même pour celle de Rocknrolla.
En réécoutant Bankrobber, comment ne pas penser à cette scène dans laquelle apparait le très décadent Johnny Quid qui se revoit dans la peau du petit John Cole et se remémore les "doux" rapports qu'il entretenait avec son beau-père...
[extrait des...] Paroles:
My daddy was a Banrobber But he never hurt nobody He just loved to live that way And he loved to steal your money
Some is rich, and some is poor That's the way the world is But i don't believe in lying back Sayin' how bad your luck is
So we came to jazz it up We never loved a shovel Break your back to earn your pay An' don't forget to grovel
Petit post suite à la mise en ligne récente du nouveau clip de l'auto-proclamé "MaeStro"... Quoi? De la variété? Oui, bon ça va c'est pas faux! Un peu de légèreté et de fraicheur n'ont jamais fait de mal à personne. De plus, entre ses textes, son accent, son look et son expression corporelle plus qu'approximative, il y a quelque chose qui me plait!
Après que le jeune homme rwando-belge se soit offert un beau succès avec son Alors on danse (N°1 aux classements single d'une quinzaine de pays européens) il continue son chemin avec son album à paraître demain mais qui a déjà été livré en exclu sur la Toile. Deuxième clip donc, ce Te quiero filmé avec une prise de son live continue d'illustrer l'envie d'innovation de Stromae.
Certes, après avoir écouté l'album les instrus sont -peut-être un peu- redondants, par contre il joue habilement avec les mots et alterne sujets graves et légers avec dextérité... Une écriture qui n'est pas sans rappeler l'héritage reçu de ses illustres prédécesseurs belges. On remarquera d'ailleurs dans ce clip des gestuelles qui se sont sans nul doute construites en visionnant certaines prestations live de môsieur Jacques Brel.
Enfin, tu le sais peut-être, c'est à la prod que s'est initialement fait remarquer Paul Van Haver. Il a en effet bossé avant tout cela pour Anggun ou encore pour Kerry James avec différentes prod. sur À l'ombre du showbusiness. Ce travail de beatmaker il le met déjà en avant depuis plus d'un an au travers de ses "Leçons" publiées sous forme de podcasts dont tu trouveras un exemple après le clip.
[extraits des...] Paroles:
Un jour je l’ai vu, j’ai tout de suite su que Qu’on allait devoir faire ces jeux absurdes Bijoux, bisous et le tralalas, Mots doux et coups bas Insultes, coups, etc, etc Non non ! Pas les miens mais les siens oui Notre enfant deviendra aussi le sien ensuite Enfin c’est le juge qui insistera, j’imagine Imagine moi télé sous le bras et mes jeans sales et puis tout ça…
Je l'aime à mort mais pour la vie On se dira « oui », à la vie, à la mort Et même en changeant d’avis Même en sachant qu’on a tort On ne changera pas la vie Donc comme tout le monde je vais en souffrir Jusqu’à la mort
Te quiero Je voudrais être son ombre Mais je la déteste Te quiero Même au bout du monde Et bien qu'elle y reste...
Il y a un peu moins de deux semaines... Sur le point de prendre une décision pro qui va forcément changer le cours de ma vie (ben oui dude! le pro c'est un peu notre vite aujourd'hui! Le système, Babylone, toussa toussa, on est tombé dedans!)... Pour décompresser, une invit' (merci mamz'el') pour la une "projection presse" de When you're strange (la dernière...), biopic des Doors par Tom DiCillo.
Alors honnêtement: avant cela, j'appréciais beaucoup quelques-unes de leurs chansons... En amoureux de zik, j'avais approfondi avec un ou deux albums, "pour connaître"... J'aimais bien, en particulier les textes... Mais je ne comprenais pas cette propension à l'idolâtrie... Je ne comprenais pas le phénomène Jim Morrison... Du coup: j'y suis allé pour voir, pour comprendre, pour apprendre.. Résultat? Objectif atteint!
On va gagner du temps (il est tard, le film sort demain, je m'en rend compte avant de me coucher, j'ai aimé, envie d'en parlé, mais, fatigué là là!). Qu'est-ce que tu risques d'en penser: Tu connais bien les Doors: tu vas aimer revoir ces images et entendre Le Pirate des Caraïbes te les raconter! Tu ne connais pas leur histoire: tu vas comprendre pourquoi, au du moins comment, cette Star comme il en existe peu, a vécu et évolué pour être adulée de la sorte
En tous cas, je n'ai absolument pas vu le temps passer, j'ai apprécié le film, j'ai rit par moments, réfléchis pour d'autres et suis resté parfois sur le c**...
Quoi qu'il en soit, je comprends un peu mieux pourquoi ils ont (il a...) déchaîné les foules, et pourquoi il s'est hisser à un rang où il ne côtoie que les Dylan, Marley et autres...