mercredi, décembre 13, 2006

The Verve

J'aurais pu intituler ce post "The drugs don't work" tant c'est surtout sur cette chanson que je veux attirer votre attention. Elle représente beaucoup pour moi, la drogue a en effet réussi à séduire et m'enlever une personne qui m'était chère et que je n'oublierai jamais, et c'est à elle que j'ai pensé dès que j'ai découvert ce morceau il y a deux ans, par le biais de la reprise qu'en avait fait Ben Harper en Live. C'est ça qui m'a amené à vraiment m'intéresser à ce groupe que je ne connaissais que de nom à l'époque.

Pour vous présenter The Verve je vais me permettre (une fois n'est pas coutume) de reprendre la présentation qui en est faite en introduction de leur page dédiée sur Wikipédia, tellement je la trouve "bien":

"La montée du groupe fut en réalité l’aboutissement d’un long et éprouvant voyage qui débuta à l’aube des années 90 et dont le déroulement fut perturbé par une séparation, de multiples poursuites judiciaires, ainsi qu’une importante consommation de narcotiques. Avec leur son océanique, associant la vision exploratoire du psychédélisme des années 60 et de chatoyantes et esthétiques atmosphères, The Verve se languissait dans une relative obscurité avant de faire surface dans le monde musical, donnant ainsi naissance à une des plus complexe et remarquable évolution en matière de rock moderne et cela bien avant que la plupart ne connaissent même leur existence."

(ps: si quelqu'un peut m'expliquer ce qu'est un "son océanique" ça serait vraiment gentil :)

Donc les extraits:

  • La sublime The drugs don't work, en live: un grand moment!
  • Le live du tube Bitter Sweet Symphony (sur lequel le groupe n'a pas touché ses droits d'auteurs, la base rythmique de cette chanson ayant été "inspirée" par les Rolling Stones, dont la maison de disque a récupéré le pactole)
  • Le clip de Lucky man
  • Et enfin, le groupe s'étant séparé en 1998, un extrait de Richard Ashcroft en solo: A song for the lovers








2 commentaires :

Les deux live sont vraiment bien. SUr la première j'adore la fin, il vit vraiment sa chanson!!

C'est clair! De toutes façons quand t'écris une chanson comme celle là ca sent le vécu, tu la chantes avec tes trippes!