Theophilus London - Tribe (Feat. Jesse Boykins III)

Quand deux de nos chouchous se rencontrent on est logiquement obligés d'aimer! Theophilus London dont on t'a parlé plusieurs fois prépare la sortie de son album Vibes (avec dans le rôle du producteur exécutif "lui", donc on imagine déjà le bruit que ça risque de faire

Die Antwoord - Ugly Boy

Si le trio sud-africain emmené par Ninja et Yolandi Visser (et, bien caché derrière ses platines, Hi-Tek) ne brille pas toujours par son excellence niveau son (et encore, même là on est réceptifs! Allez savoir...) il faut reconnaitre que visuellement ils ont su imposer leur marque de fabrique.

FKA twigs - #throughglass [GOOGLE GLASS Ad]

FKA Twigs se met en scène pour promouvoir les Google Glass! A la fois actrice et réal pour cette pub en forme de court métrage, la chanteuse met en avant les atouts produits (vous avez dit Brand Utility?) avec en guise de bande son, deux de ses morceaux : Video Girl et Glass Patron.

Elle King - Ex's and Ho's

New-yorkaise de 25 ans, Elle King a écumé les Etats-Unis avant de s'établir dans la Big apple. Elle débute sa carrière en se produisant à Brooklyn et Harlem. Son style musical va de la country au rock en passant par la soul et le blues.

Tove Styrke - Borderline [NEW EP + VIDEO]

La charmante Tove Östman Styrke nous revient avec un nouveau clip tout frais! La jeune suédoise qui avait été repérée dans Sweden Idol en 2009 (dans lequel elle s'était hissée à la troisième place du podium) nous présente la vidéo de Borderline premier single de l'EP éponyme qui sortira le 23 novembre prochain.

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dimanche, octobre 02, 2011

Chuck Berry - No Particular Place To Go [#NowPlaying]


Dimanche...
Après une journée de soleil...
Crevé, détendu et donc du temps de cerveau à mettre à disposition.
Direction logique: TF1. J'avoue, je suis faible. Je bats ma coulpe.

Bon le (télé)film, La Doublure, pas vraiment grand chose à dire hein (et surtout il m'est difficile d'être objectif vu qu'il y a Gad ElMaleh mais aussi, et surtout, Alice Taglioni...).

Par contre, ce que je retiendrai c'est le générique d'intro dynamité par celui
...Dont l'un des enregistrements avait été choisi dès 1977 pour faire partie d'un coffret à destination des extra-terrestres, et visant à leur faire goûter à la quintessence de la culture "humaine",
...Qui a été classé 6ème meilleur guitariste de tous les temps et 25ème meilleur artiste par le Rolling Stone magazine.

Chuck Berry
! Avec l'un de ces (très nombreux) classiques : No particular place to go.

lundi, août 15, 2011

Bed Peace (John Lenon & Yoko Ono)



*Ce message s'auto-détruira le 21 Août*

C'est Yoko Ono qui en a décidé ainsi. Elle met en ligne ce reportage -sorti en vhs uniquement- qu'elle a réalisé avec John Lenon et qui a été filmé par Nic Knowland... pour quelques jours seulement. Tourné à l'époque du Vietnam, il a pour vocation "d'encourager et d'inspirer les activistes d'aujourd'hui"... Explications:

Dear Friends,

In 1969, John and I were so naïve to think that doing the Bed-In would help change the world.
Well, it might have. But at the time, we didn't know.

It was good that we filmed it, though.
The film is powerful now.
What we said then could have been said now.

In fact, there are things that we said then in the film, which may give some encouragement and inspiration to the activists of today. Good luck to us all.

Let's remember WAR IS OVER if we want it.
It's up to us, and nobody else.
John would have wanted to say that.

Love, yoko

mercredi, décembre 26, 2007

Oscar Peterson: R.I.P.

Je l'ai dit et redit à maintes reprises sur ce blog (pour les trois ou quatre personnes qui me lisent régulièrement ;) chaque son et chaque artiste dont je parle ici me rappellent un moment, une période ou une personne en particulier...

Vous devez le savoir cette semaine c'était Noël (oui oui sérieux!)...
Un Noël assez particulier pour moi, car (peut-être) le premier que je passais seul...
Et j'entends d'ici les "oh le pov' chouchou... c'est trop triste"...
Mais NON... c'est juste la vie, c'était à la fois agréable, particulier, perturbant, et nouveau pour moi qui ai toujours été habitué à être très entouré durant ma vie (que ce soit avec la famille, les amis, ou les chéries...)

Donc, moitié par choix et moitié par obligation, il s'est avéré que cette année c'est en tête à tête avec mes pensées que je l'ai passé...

Tout cela pour dire, que la mort d'un grand, que dis-je d'un monstre, que dis-je d'un génie du jazz, et plus largement de la musique, a participé à ma descente dans les abîmes les plus profondes de mes états d'âme...

Et là encore, j'entends d'ici: "oh non... c'est parti pour le mélo, je me barre de ce blog!"

Mais non! C'est juste que cet artiste que j'adore est pour moi synonyme d'une personne, dont les doigts ondulants entre touches noires et blanches m'ont envoûtés pendant toute l'époque durant laquelle j'ai observé leur ballet (et v'la ti pas que le chti bonhomme se veut lyrique!)

Tout ça pour dire que OUI, la musique c'est avant tout pour moi des souvenirs impérissables et que ceux qui concernent Oscar Peterson (certainement le plus grand Jazzman Canadien) sont à jamais inscrits au plus profond de mon être!

Voilà voilà.. ce soir j'ai aucune envie de vous faire sa bio, il y a Wikipedia et autres pour ça, on passe directement aux extraits, et quels extraits !
  • On commence avec un live que j'ADORE de 1987
  • You look good to me
  • Du collector en duo avec Nat King Cole!
  • Et Re-collector en duo avec Madame Ella!







jeudi, novembre 08, 2007

Humeur du jour...: Commodores - Easy

...Les Commodores - Easy.



Et la reprise, par Faith no more

mercredi, octobre 24, 2007

Dean Martin - Rosemary Clooney - Gerard Darmon - Bette Middler : Mambo italiano

Il y a des airs comme ça qui vous restent dans la tête... Ce weekend je suis retombé sur ce passage énorme de Monsieur Dino, Dean Martin, interprétant Mambo Italiano (un titre écrit par Bob Merrill, en 1954)...

Et depuis samedi je n'arrive pas (je n'ai pas très envie...) à faire partir ces paroles de mon cerveau embrumé... C'est donc la bonne occasion de sortir ce blog de sa torpeur, avec trois extraits:
  • La version de Dean Martin, ma préférée, qui date de 1954
  • Un court extrait de l'interprétation originelle par Rosemary Clooney, aussi en 1954
  • Et en bonus, les versions (plus entraînantes) de Gerard Darmon et de la grande Bette Middler








jeudi, septembre 06, 2007

Hommage: Luciano Pavarotti

Juste une vidéo en hommage à ce monstre de la musique qui nous a quitté la nuit dernière. Un extrait du premier acte de La Bohème de Puccinni (avec Mirella Freni) 18 minutes de Grande musique.

mercredi, août 22, 2007

Semaine Thématique: Arnaques Crimes et Botanique. Acte 2: James Brown - Payback


Deuxième son de cette semaine dédiée à la BO de Lock Stock, Mr James Brown, avec Payback (en intro d'un mini-medley). Pas grand chose à dire si ce n'est que j'adore cet extrait, sa coupe, sa moustache, le son, l'ambiance un peu à la Soul train, etc. tout ça est parfait!

A notyer aussi que James Brown est aussi présent sur la BO au travers d'un autre morceau: The Boss, et pour d'autres extraits du Godfather of Soul, voire aussi le post que j'avais fait il y a peu...

vendredi, avril 13, 2007

Bobby Mcferrin - Don't Worry, Be Happy

Il y a des moments dans la vie ou petits et gros problèmes s'en donnent à coeur joie pour venir vous sortir de cette léthargie, cette routine qui vous fait trop souvent oublier à quel point elle est belle cette vie...

Des problèmes qui, comme dans une loi de murphy des plus perverses, se relayent pour vous faire dire:

>> Pardon, je ne me plaindrait plus jamais de ce paradis qu'est ma vie!
>> Juré je profiterai de chaque moment comme du plus beau des cadeaux!
>> Promis je crierai des Ceaze The day, des Carpe Diem, etc. à m'en tuer la gorge chaque matin où je me réveillerais:
  • sans voir que les attentats reprennent à dix minutes de l'endroit où vit ma mère,
  • sans qu'on me dise que j'ai (encore) perdu un membre de ma famille,
  • sans me rendre compte que tout ce qu'on a connu jusque là peut disparaître du jour au lendemain (ahhh ça doit être ça devenir adulte...?),
  • sans me rendre compte que j'ai un dossier qui va me bouffer mes soirées de la semaine prochaine,
  • sans être malade comme un chien, à n'en plus pouvoir parler normalement,
  • sans que des problèmes insignifiants viennent en plus en remettre une couche par-dessus,
  • Etc, etc, etc.
Même si ces quelques lignes donnent un peu l'impression d'un état qui oscillerait entre déprime et morosité, elle ne sont que le reflet d'un blindage chaque jour plus résistant, qui n'a comme leitmotiv que le titre d'un standard aux faux airs de méthode coué: Don't Worry, Be Happy... Par Bobby McFerrin


mardi, avril 03, 2007

Johnny Cash - Hurt

Je n'ai pas trop envie de m'étendre sur cet artiste:
  • sa vie tourmentée: tour à tour alcoolisée ou shootée à différentes substances
  • ses morceaux mythiques (Folsom prison blues ou Ring of Fire, pour ne citer qu'elles) ou plus largement sa discographie impressionnante
  • sa mort en 2003 à Nashville (Tennessee)
  • etc.
Pour tout ça je vous conseille le film inspiré de sa vie, avec Reese Witherspoon et Joaquin Phoenix, et dont le titre est inspiré de l'un de ses standards: Walk the line

Tout ça pour dire que j'ai entendu Hurt sur le blog de magwann dimanche et que ça m'a rappelé à quel point ce chanteur à des morceaux Uniques.

Je ne peux donc pas résister à l'envie de vous diffuser le clip de cette chanson qui me procure une sensation bizarre: entre mélancolie et nostalgie, entre pensées et frissons, mais dont j'aime tout: de la voix aux paroles, en passant par la musique...

Et en bonus deux autres extraits :
  • En live, la très belle Home of blues interprétée par Norah Jones en hommage à Johnny Cash,
  • Le clip de God's gonna cut you down et sur celle là on va voir si vous arrivez à reconnaître tous les artistes en guest dans la vidéo pour rendre hommage au chanteur!






mardi, mars 27, 2007

Boléro ! Bésame Mucho....

Comment aurais-je pu ne pas faire de post sur cette chanson?
Bésame Mucho...
Une chanson composée par une chanteuse mexicaine, Consuelo Velázquez, dans les années 40',
Une chanson que tout le monde la connaît, sûrement le boléro le plus connu d'ailleurs,
Une chanson qui a été adapté des dizaines (centaines?) de fois,
Une chanson que l'on a tous entendu dans différentes langues,
Une chanson qui accompagne aussi parfois nos trajets de métro, jouée (avec plus ou moins de dextérité) par des artistes souvent ignorés par des rames entières de voyageurs trop aigris...

Bon allez les extraits:
  • On commence fort avec la reine de "Capo Verde" Madame Césaria Evora,
  • On enchaîne avec les Beatles,
  • Un petit détour par le kitsch avec la version Dalida (on est loin du boléro là! Période disco oblige...)
  • Et pour finir, peut-être ma préférée, Andrea Bocelli






jeudi, mars 08, 2007

Reprises, Acte V: Lou Reed vs. Vanessa Paradis!

T overbooké. Stop.
T n'a donc pas le temps de bloguer ces jours-ci. Stop.
T est en manque, parceque c'est un peu devenu une habitude/un exutoire/une drogue? Stop.
T avait donc besoin d'écrire ces trois lignes et surtout de publier de la bonne MUSIQUE. Stop.
T va arrêter son délire schizo... Stop.

Deux petites vidéos dans la série des reprises, l'indémodable Walk on the wild side, de Lou Reed (en 1982 et en Live) suivi de la reprise, et là je dis: COLLECTOR, 1991, Vanessa Paradis!





lundi, février 19, 2007

Emotion, Edit Piaf... La môme

La Môme...Oui je sais, ce n'est pas Eklektik Cinéma ici mais bon...Ce film m'a touché: drôle par moments, réellement sombre et triste à d'autres, mais en tous cas fort de bout en bout, un peu à l'image de cette grande artiste qu'était Edith Piaf.

Dès le début de ce blog, je vous ai parlé de mes "influences musicales", et de ce (et surtout "ceux") qui m'avaient fait autant aimer la musique. J'avais oublié de citer cette artiste impressionnante, qui au même titre que les Brel, Brassens, et autres Ferré, représente le côté de la musique pour lequel mes parents m'ont transmis très tôt un amour immodéré.

En effet ce film, au-delà de la justesse de l'interprétation de Marion Cotillard, au-delà de la plus que charmante compagnie en laquelle je me trouvais, m'a transporté dans mes souvenirs, et m'a vraiment rappelé beaucoup de choses...

En effet je ne sais pas trop quoi dire d'autre à part que les passages retraçant les derniers moments de l'artiste m'ont glacé le sang en me faisant revivre des épreuves douloureuses de ma vie que j'ai récemment traversées, tant ils semblaient vrais...et que ce film m'a fait découvrir son histoire dont je ne connaissais que les grandes lignes.

Les extraits:
  • L'homme à la moto, qui n'était pas dans le film mais qui me tient à coeur, je la connaissais par coeur et la chantais à tue-tête sur les genoux de mon père alors que je n'avais que six ans, c'est à toi qu'elle me refait penser, comme beaucoup de choses d'ailleurs....
  • On enchaîne avec dans l'ordre: Padam, la Foule (extraits du Ed Sullivan Show de 1956) et l'hymne à l'amour
  • Et pour finir un extrait d'interview dans lequel elle revient sur cette,tristement fameuse, "tournée suicide", sur sa vie dénuée de tout désir matérialiste, mais surtout sur son amour de la Musique.









mardi, février 06, 2007

06 février...Bob Marley ! Acte I: Le Rasta

Les quatre actes?
Acte 1 : Bob Marley, Le rasta
Acte 2 : Bob Marley, Le chanteur engagé
Acte 3 : Bob Marley, Le Don Juan
Acte 4 : Bob Marley, La légende

Le 06 Février 1945, Nine Miles (commune de St Anne) Jamaïque...

C'est aujourd'hui l'anniversaire d'un chanteur que j'ai écouté des milliards de fois, dont je connais la vie entière, la famille, les anecdotes, les paroles sur le bout des doigts, dont j'ai aimé chaque bribe de partition, sûrement le seul chanteur dont j'ai été réellement fan: Monsieur Robert Nesta Marley.

A cette occasion quatre "petits" posts (c'est la moindre des choses!) qui retranscriront chacun l'un des aspects de la musique, et donc de la vie, de ce véritable génie (j'aurais aussi pu écrire demi-Dieu, légende, idole, chanteur inclassable, etc la liste est longue).

Ne vous étonnez pas si je n'en écrit pas tant que ça, seulement si je devais dire tout ce que j'en pense, et tous les détails qui m'ont marqués, c'est un blog entier qu'il faudrait que j'y consacre (c'est d'ailleurs peut-être ce que je ferai un jour...).

Première partie donc: Bob Marley...le Rasta.

Pour beaucoup de gens sur cette planète, ce terme de "rasta" ne fait référence qu'à des cheveux "sales", de la drogue, et des "jeunes désoeuvrés" en quête de rébellion ou d'affirmation de soi, dans les caraïbes ou dans d'autres endroits de la planète.

Pour d'autres, il fait référence à une véritable Religion. Qui contrairement à ce que l'on pourrait penser est très proches des trois religions "abrahamiques".
Le Rastafarisme (comme les trois autres) à son Livre: la Holly Pibby (la version de la Bible qui n'aurait pas été modifiée, au détriment du peuple noir, selon eux...).
Le Rastafarisme a aussi (comme les trois autres) ses interdits matérialisés, par exemple, au niveau alimentaire par le régime Ital.
Le Rastafarisme a aussi (comme les trois autres) ses prophètes, parmi lesquels Marcus Garvey.
Le Rastafarisme a aussi ses prophéties qui ont fait de Hailé Selassié, la personnification terrestre de Dieu. Quelquechose dont le dirigeant éthiopien avait été le premier surpris. Mais pour les Rastas, celui qui était le descendant du Roi Salomon et de la Reine de Sabah, s'avérait être à leurs yeux: Jah Rastafari, leur Dieu...

De nombreuses chansons de Bob étaient tout simplement des prières pour certains, louant la gloire de Jah, et pour de nombreuses personnes à travers le globe il fait figure de Prophète...

Les extraits:
  • Loving Jah
  • Jah Live
  • Natural Mystic




06 février...Bob Marley! Acte2: le chanteur engagé

Les quatre actes?
Acte 1 : Bob Marley, Le rasta
Acte 2 : Bob Marley, Le chanteur engagé
Acte 3 : Bob Marley, Le Don Juan
Acte 4 : Bob Marley, La légende

En effet, malgré la perception que pouvaient en avoir beaucoup de gens, Bob Marley était aussi et surtout un chanteur militant.

Quand on grandit comme lui dans l'un des ghettos les plus pauvres de l'une des villes les plus dangereuses du monde, on est exposé jour après jour la misère, la détresse, les crimes, etc. et Bob a lutté pendant une très grande partie de sa vie pour essayer de sortir son pays de cette misère.

Dans cette optique ses chansons étaient de deux ordres, celles qui étaient destinées à faire chanter, danser, et à donner de l'espoir à ses compatriotes, et celles qui étaient sensées attirer le regard du monde, et en particulier celui de l'ancien colonisateur (encore très influent dans le pays) à savoir la Grande Bretagne, sur la situation.

Mais Bob était aussi un fervent défenseur de la paix, et ce particulièrement en Afrique, continent qui abrite Zion (Sion), la terre promise...et qu'il voyait meurtrie par les guerres et surtout par le joug colonialiste.

Les extraits:
  • War!
  • Zimbabwe, en hommage l'indépendance de la Rhodésie, qu'il est venu chanter ensuite dans le pays pour fêter l'anniversaire de sa libération, et c'est un extrait de ceux fameux concert de 1980! Une chanson que j'adoooore!
  • Concrete Jungle, en hommage à cette "jungle de béton" dans laquelle il a grandi: Trenchtown, une chanson pleine d'espoir qui pourrait correspondre à de nombreuses banlieues...
  • Un morceau qui se passe de commentaires tant le titre est parlant et tant son interprétation est grandiose: Rebel Music...!
  • Et enfin, Smile Jamaïca. Un titre symbolique lorsque l'on sait que quelques jours avant de le chanter lors du concert éponyme (en 1976, à Kingston) Bob avait été victime d'une tentative d'assassinat par des militants politiques le croyant engagé avec le parti adverse. Lors de ce concert il avait réuni les deux principaux leaders politiques jamaïcains qui s'affrontaient alors par voix de presse, tandis que leurs partisans se tuer dans les rues du pays. Son message était clair: "si eux se serrent la main, pourquoi Nous nous devrions nous entretuer à leur place...?"














06 février...Bob Marley ! Acte 3 : Le Don Juan

Les quatre actes?
Acte 1 : Bob Marley, Le rasta
Acte 2 : Bob Marley, Le chanteur engagé
Acte 3 : Bob Marley, Le Don Juan
Acte 4 : Bob Marley, La légende

Ahhh, Bob Marley et les femmes...! Que dire?

Il faut se rendre à l'évidence, Bob arrivait à faire chavirer le cour de nombreuses dames... Comme le répète Rita Marley dans de différentes interviews, il avait cet espèce de charme qui les faisait succomber. Un sourire (apparemment) ravageur, les mots qu'il fallait, de l'attention, etc.

Bon la conséquence de tout ça, c'est aussi la véritable Tribu Marley à laquelle il a donné naissance: Ky-Mani (dont la chanson The Letter, dans laquelle il chante à son père tout ce qu'il n'a pas eu l'occasion de lui dire en face, est tout simplement magique), Ziggy, Stephen, Rohan (le mari de Lauryn Hill), Julian, Cedella, et Damian (dont la mère était une Miss Monde...) sont par exemple ceux qui ont été reconnus par le chanteur...

De nombreuses chansons de l'artiste reflètent cette partie de son caractère, de sa vie:
  • Stir it up
  • Satisfy my soul
  • Is this love




lundi, février 05, 2007

06 février...Bob Marley ! Acte 4: La légende

Les quatre actes?
Acte 1 : Bob Marley, Le rasta
Acte 2 : Bob Marley, Le chanteur engagé
Acte 3 : Bob Marley, Le Don Juan
Acte 4 : Bob Marley, La légende

Bob Marley est mort le 11 Mai 1981, c'est une légende qui est partie, mais qui reste bien vivante à travers certains titres qui sont à jamais gravés dans l'histoire de la musique. L'album Legend a fait beaucoup pour entretenir le mythe, c'est indénibale. C'est avec quelques-uns de ses extraits (hormis "want more") que l'on termine cette série:

Trois Lives assez rares:

  • Rastaman Vibration (Oakland 1979),
  • Get Up Stand Up (Munich 1980) et
  • Want More (Stardust Club, Angleterre, 1976)
Et deux incontournables:
  • Redemtion song
  • No woman no cry








lundi, janvier 08, 2007

The Doors, The End

Honnêtement, là je ne sais pas quoi dire, juste envie de diffuser cet extrait : The Doors, Jim Morrison, The end. Avec bien sûr les paroles:

This is the end
Beautiful friend
This is the end
My only friend, the end

Of our elaborate plans, the end
Of everything that stands, the end
No safety or surprise, the end
I'll never look into your eyes...again

Can you picture what will be
So limitless and free
Desperately in need...of some...stranger's hand
In a...desperate land

Lost in a Roman...wilderness of pain
And all the children are insane
All the children are insane
Waiting for the summer rain, yeah

There's danger on the edge of town
Ride the King's highway, baby
Weird scenes inside the gold mine
Ride the highway west, baby

Ride the snake, ride the snake
To the lake, the ancient lake, baby
The snake is long, seven miles
Ride the snake...he's old, and his skin is cold

The west is the best
The west is the best
Get here, and we'll do the rest

The blue bus is callin' us
The blue bus is callin' us
Driver, where you taken' us

The killer awoke before dawn, he put his boots on
He took a face from the ancient gallery
And he walked on down the hall
He went into the room where his sister lived, and...then he
Paid a visit to his brother, and then he
He walked on down the hall, and
And he came to a door...and he looked inside
Father, yes son, I want to kill you
Mother...I want to...fuck you

C'mon baby, take a chance with us
And meet me at the back of the blue bus
Doin' a blue rock
On a blue bus
Doin' a blue rock
C'mon, yeah

Kill, kill, kill, kill, kill, kill

This is the end
Beautiful friend
This is the end
My only friend, the end

It hurts to set you free
But you'll never follow me
The end of laughter and soft lies
The end of nights we tried to die
This is the end

dimanche, janvier 07, 2007

Saga Marley : Damian "Junior Gong"

Premier post d'une longue série sur la "dynastie Marley"...
On commence dont avec le "petit dernier" qui est peut-être mon préféré, et en tous cas celui dont le succès a été le plus important depuis Bob: Damian!

Alors prenons les choses dans l'ordre: Damian est donc le fils de la légende du reggae et de Cindy Breakspeare, fille d'un jamaïcain et d'une canadienne, qui est née à Toronto est a grandi à Kingston. Cindy deviendra donc l'une des maîtresses de Bob Marley et contrairement à certaines de ses relations, leur aventure sera "officialisée"dans les journaux jamaïcains.

L'histoire raconte que l'un des plus grands succès commerciaux de Bob, Is this Love (qui a été enregistré à Nassau, dans les Bahamas, après que Bob se soit fait tirer dessus et ait quitté Kingston) aurait même été inspiré par cette idylle... En 1976 elle est élue Miss Monde, deux ans avant de donner naissance à celui que l'on surnommera par la suite "Junior Gong".

Alors comment définir le benjamin des Marley? On peut déjà dire qu'il était précoce sans beaucoup s'avancer, comme tous ses frères et soeurs il est tombé très tôt dans le bain musical et ses premiers pas se sont faits au sein d'un groupe: les Shepherds, sa première scène majeure, alors qu'il n'avait que 14 ans: le mythique Reggae Sunsplash de 1992.

Il poursuit ensuite en solo avec deux albums Mr. Marley (1996) Halfway Tree (2001). C'est en 2005 qu'il nous livre son meilleur opus, Welcome to Jamrock, et qu'il connaît son plus grand succès à en croire l'engouement du public, les classements de ses singles au Billboard ou encore les récompenses reçues, à savoir:
  • 6 victoires pour 6 nominations aux 25èmes IRAWMA (International Reggae and World Music Awards)
  • Et la consécration aux Grammy Awards, avec pour la première fois de l'histoire deux victoires pour un artiste de Reggae!
Ce que j'aime chez cet artiste (au-delà de sa voix, son flow ou encore ses prestations scéniques) c'est ses textes, ses convictions et son engagement dans différents combats, au sein de nombreuses associations. A ce niveau, et à celui de ses croyances religieuses c'est certainement celui qui suit le plus les traces de son père.

Mais s'il réussit à s'imposer musicalement, c'est aussi parcequ'il ne s'est pas laissé étouffer par l'héritage légué et qu'il est arrivé à créer une musique qui lui est propre, faite d'un savent mélange de Roots, de Dancehall et de sonorités plus urbaines empruntées au Rap.

Bon allez on passe au extraits parceque sinon je ne m'arrêterais pas d'écrire!
  • On commence avec le clip de Road to Zion, avec en featuring Nas
  • Welcome to Jamrock en live toujours à Amsterdam
  • Move en Live (sur l'instru de Exodus)
  • Et pour finir, et pour mettre en avant Stephen Marley (qui a produit une grande partie de ses titres) deux de leurs morceaux en duo: All Night et surtout Traffic Jam le premier extrait du premier album en solo de Stephen à venir au premier trimestre 2007!













lundi, décembre 25, 2006

Jeff Buckley


Alors que dire pour le présenter? Si c'est encore nécessaire... Jeff Buckley est né dans une famille de musicien, Mary Guibert était pianiste et chanteuse d'origine panaméenne, son père Tim: un artiste marquant des années 60/70. Ses parents étant divorcés, il n'a que très peu connu son père qui meurt alors qu'il n'a que 9ans.

Influencé par des artistes tels que Lou Reed, les Beatles, Led Zep ou encore Edith Piaf, il commence le piano et la guitare à 6ans! Son premier album (et le seul diffusé de son vivant), Grace, sorti en 1994 est tout simplement magique et incomparable/inclassable à mes yeux...

Et comment passer à côté de ce paragraphe que l'on retrouve ça et là sur le net:
"Jeff Buckley se promène au bord du boueux affluent Wolf River avec son ami Keith Foti et décide d’aller se baigner, tout habillé, au son de Led Zeppelin que crache le ghetto-blaster. Après le passage d’un bateau à roues il disparaît dans les eaux. Son corps est retrouvé dans le Mississippi trois jours plus tard, vingt-deux ans et un mois après la mort de son père."Voilà pour le factuel...

De manière plus personnelle, je n'ai connu Jeff Buckley que vers 98, soit un an après sa mort. Et depuis lors je reste impressionné, touché, ému à chaque fois que je l'écoute. Que ce soit sa voix (qui "couvre cinq octaves"...!) les paroles, ou encore les musiques (composées en grande partie par Gary Lucas) de ses chansons, j'aime vraiment l'univers de cet artiste parti trop tôt...

Bon allez, j'arrête les violons... et je te laisse passer aux extraits:

On commence avec l'incontournable et très mystique reprise de Léonard Cohen: Hallelujah... et Grace .




Hommage: James Brown... RIP

Première chose à entendre ce matin après avoir ouvert les yeux: la disparition d'une légende
d'un homme au charisme impressionnant, d'un artiste qui aura laissé à la musique des titres que l'on oubliera jamais et à la danse des pas (du "boogaloo" au "funcky chicken") qui ont entraîné les scènes du monde entier.

Celui que l'on appelait le Godfather de la soul nous a quitté aujourd'hui...en hommage à cette voix d'exception, à ce showman de génie:
  • On commence en douceur avec Try me et This is a man's world
  • On enchaîne avec I feel Good et Sex Machine
  • Et pour finir un extrait de Funk dont lui seul avait le secret: Get on the good foot !