Quand deux de nos chouchous se rencontrent on est logiquement obligés d'aimer!
Theophilus London dont on t'a parlé plusieurs fois prépare la sortie de son album Vibes (avec dans le rôle du producteur exécutif "lui", donc on imagine déjà le bruit que ça risque de faire
Si le trio sud-africain emmené par Ninja et Yolandi Visser (et, bien caché derrière ses platines, Hi-Tek) ne brille pas toujours par son excellence niveau son (et encore, même là on est réceptifs! Allez savoir...) il faut reconnaitre que visuellement ils ont su imposer leur marque de fabrique.
FKA Twigs se met en scène pour promouvoir les Google Glass!
A la fois actrice et réal pour cette pub en forme de court métrage, la chanteuse met en avant les atouts produits (vous avez dit Brand Utility?) avec en guise de bande son, deux de ses morceaux : Video Girl et Glass Patron.
New-yorkaise de 25 ans, Elle King a écumé les Etats-Unis avant de s'établir dans la Big apple. Elle débute sa carrière en se produisant à Brooklyn et Harlem. Son style musical va de la country au rock en passant par la soul et le blues.
La charmante Tove Östman Styrke nous revient avec un nouveau clip tout frais! La jeune suédoise qui avait été repérée dans Sweden Idol en 2009 (dans lequel elle s'était hissée à la troisième place du podium) nous présente la vidéo de Borderline premier single de l'EP éponyme qui sortira le 23 novembre prochain.
Ça y est, le buzz commence à vraiment prendre aux Etats-Unis pour Iggy Azalea. Son dernier clip, My World, enregistre déjà plus de 50 000 vues sur youtube quelques heures après sa mise en ligne. La jeune australienne semble bien partie pour atteindre son objectifs et faire son trou dans le rap féminin, du fond de la Californie...
Iggy Azaela a bien créé le buzz en cette fin d'été aux États-Unis... En l'espace de trois clips et d'une mixtape elle a eu les honneurs de supports majeurs de la presse musicale... et des internautes via tutube.
Les comparaisons ne manquent pas, Nicki Minaj pour la bitchy attitude ou encore kreayshawn. Côté bio, et pour résumer, elle a 21ans, est australienne et s'est installée aux US à 16ans. Après Miami et Atlanta, atterrissage à LA où elle a vivoté de petits boulots et "arnaques" jusqu'à ce que les mecs d'Interscope la découvrent.
Niveau flow, rien à dire c'est style kalashnikov gonflé aux hormones. Pour les lyrics c'est jeune, pas très profond, bien obsédé (par quoi? regarde les titres...) mais rafraichissant! Petit tour justement du côté des paroles de Pussy, c'est assez... fleuri. Mais bon, peut-être est-ce simplement une version moderne deColette Renard avec ses Nuits d'une demoiselle...
Et si tu n'as pas reconnu le sample en intro du morceau, c'est la bande son d'une scène culte du film Boomerang (la voix étant bien entendu celle de Grace Jones...). L'extrait est à (re)découvrir juste en dessous du clip...
Pour télécharger sa mixtape Ignorant Art,c'est par ici.
[EDIT 03.01.12] Le Clip -Officiel- de Pu$$y a été retiré de la plupart des plates-formes et notamment YouTube.. (certainement par la maison de disque). On l'a remplacé par un bon vieux Vimeo (et on avisera s'ils la retirent).
Iggy iggy pussy illy wetter than the amazon taste this kitty silly billy poppin pillys smoke it like a swisher ... lick this philly mold em ah' soak em ah'
hook em like crack after shock molten ah' lava drop this should be outlawed. call me pac
the illest on the planet better play ya cards right mr gambit if you wanna hang here aint no hammock
never, not better - law should ban it never, no better - law should ban it i do it right, wit d.r.u.g.s understand it i do it right, now please sir pan it
Drugstore, le dernier album de No One Is Innocent, est sorti le premier février dernier en marquant une rupture évolution nette par rapport aux abums précédents... Certains inconditionnels du groupe semblent avoir été déçus, les guitares et leurs distorsions se laissant parfois étouffer par les effets et par les beats plus électro. En toute honnêteté, je n'ai jamais été le plus grand fan du groupe, même si j'en apprécie véritablement certains morceaux/textes. C'est peut-être cela qui m'a permis d'échapper à l'effet déceptif ressenti à la sortie de ce nouvel opus...
Quoi qu'il en soit et même si je lui préfère Hurry up (city boys) ou Les opposants (pour les textes) ou Cheri Moog pour son beat, ce post vise plus à attirer ton attention sur la mise en image de DRUGS, en ligne depuis hier. "Mise en image" en effet, puisque en guise de clip c'est une petite expérience interactive que le groupe te propose.
À l'instar des Livres dont tu es étais le héros, tu vas pouvoir pour influer sur le déroulement du clip. Départ de l'expérience en arrivant en soirée, là (tss tss tss, pas bien!!) tu vas pouvoir choisir entre Cocaïne, MDMA, LSD, Energy Drink, Vodka, Bière, etc. pour agrémenter ton périple "quitte à en subir les conséquences" (dixit le groupe)...
Ce n'est pas très politiquement correct tout cela, et j'image que chez Naïve on a du être un peu frileux sur cette affaire, mais bon... Au-delà du fond (qui pourra ressembler à une tentative démago pour faire cliquer le djeuns et créer le buzz) la forme est quant à elle assez réussie!
Pour la conception c'est Dans tous les sens qu'il faut féliciter. Muni d'une GoPro maison, à base de Canon 5D Mark II, ils arrivent à un résultat assez bien foutu qui (interactivité mise à part) me rappelle Smack my bitch up.
Sex and drugs and rock and roll Is all my brain and body need Sex and drugs and rock and roll Are very good indeed
Keep your silly ways or throw them out the window The wisdom of your ways, I've been there and I know Lots of other ways, what a jolly bad show If all you ever do is business you don't like
Sex and drugs and rock and roll Sex and drugs and rock and roll Sex and drugs and rock and roll Is very good indeed
Comme à mon habitude, j'ai presque failli ajouter un commentaire dans le titre pour donner la tonalité de ce post. Vous avez peut-être remarqué les "découvertes", "back in da days", ou encore "brand new"...
Ici, c'est avec un "coup de coeur" ou plutôt une "humeur du jour" que j'étais à deux doigts de commencer mon titre... Après une réflexion d'environ un millième de seconde (oui, je sais, je réfléchi vite, c'est impressionnant!) je me suis dit que ça porterait certainement trop à confusion :p
Trêve de digression inutiles, on laisse place, à ce petit morceau de 1977, qui a laissé son nom à une expression que tout le monde connait. Il est l'œuvre du très décadent grand Ian Dury et de ses Blockheads. Un grand moment de musique, et une épitaphe rêvée pour beaucoup...