Quand deux de nos chouchous se rencontrent on est logiquement obligés d'aimer!
Theophilus London dont on t'a parlé plusieurs fois prépare la sortie de son album Vibes (avec dans le rôle du producteur exécutif "lui", donc on imagine déjà le bruit que ça risque de faire
Si le trio sud-africain emmené par Ninja et Yolandi Visser (et, bien caché derrière ses platines, Hi-Tek) ne brille pas toujours par son excellence niveau son (et encore, même là on est réceptifs! Allez savoir...) il faut reconnaitre que visuellement ils ont su imposer leur marque de fabrique.
FKA Twigs se met en scène pour promouvoir les Google Glass!
A la fois actrice et réal pour cette pub en forme de court métrage, la chanteuse met en avant les atouts produits (vous avez dit Brand Utility?) avec en guise de bande son, deux de ses morceaux : Video Girl et Glass Patron.
New-yorkaise de 25 ans, Elle King a écumé les Etats-Unis avant de s'établir dans la Big apple. Elle débute sa carrière en se produisant à Brooklyn et Harlem. Son style musical va de la country au rock en passant par la soul et le blues.
La charmante Tove Östman Styrke nous revient avec un nouveau clip tout frais! La jeune suédoise qui avait été repérée dans Sweden Idol en 2009 (dans lequel elle s'était hissée à la troisième place du podium) nous présente la vidéo de Borderline premier single de l'EP éponyme qui sortira le 23 novembre prochain.
1 Bande Originale...
16 titres...
16 featurings de haut niveau...
21 août 2015 pour la sortie physique du...
3ème et dernier album de Monsieur Dr. Dre.
Avec en bonus, l'ensemble des bénéf' qui sera reversé au centre artistique de Compton. Franchement on ne voit pas ce que l'on peut te dire de plus, si ce n'est: enjoy that (future) classic shit!
Palo Alto, dernière réalisation de Gia Coppola (basé sur le livre éponyme de James Franco) arrive après-demain sur les écrans français. On te laisse regarder la bande annonce en fin de post pour te faire ton idée, mais le film s'annonce pas mal du tout, avec comme de faux airs du Kids de Larry Clark...
En ce qui nous concerne, on te recommande plus que vivement la BO. Aux manettes on retrouve principalement l'excellent Devonté "Dev" Hynes qui nous livre des exclus pour le film (à commencer par le très sensuel Palo Alto) mais pioche aussi dans Blood Orange pour d'autres titres. C'est le cas de You're not good enough dont on découvre le clip aujourd'hui.
A noter la présence de Marc Demarco ou encore (vu que tout se fait en famille chez les Coppola...) de Rooney's Robert Schwartzman, le cousin de la petite fille de Francis Ford. Ca va tu suit? Bon allez on laisse tomber et on se regarde/s'écoute tout ça...
Ah, Game Of Thrones... Plus que quelques heures avant de s'installer confortablement devant l'épisode 2 de la saison 4 (qui apparemment devrait beaucoup nous plaire!!). Pour nous faire patienter, un extrait de la BO de l'épisode de ce soir avec Sigur Rós et leur version de The Rains Of Castamere. Parfait pour se mettre dans l'ambiance...
Et pour ceux qui ne l'ont pas vue, la bande annonce de cet épisode, The Lion and The Rose.
La bande originale du fim Divergent, qui est particulièrement attendu, fait déjà beaucoup parler d'elle. Entre A$AP Rocky & Gesaffelstrein, Kendrick Lamar & Tame Impala, Skrillex, etc. le buzz est déjà en marche!
Petit cadeau pour les fans impatients, Ellie Goulding qui particpe à quatre morceaux de l'OST nous livre cette lyrics video de Beating Heart pour nous faire saliver encore un peu plus!
Norah Jones signe l'un des morceaux phares de la BO de Ted. Le film, qui est sorti ce weekend aux Etats-Unis, est la dernière réalisation de Seth McFarlane (Family Guy, Cleveland Show, American Dad). Dans les rôles principaux on retrouvera Mark Wahlberg, (la charmante.....) Mila Kunis et Ted, l'ours en peluche et accessoirement premier rôle.
Ne t'y trompe pas, malgré la musique type comédie familiale, le film (qui a obtenu de très bon retours de la critique et du public en s'octroyant la tête du box office US et en engrangeant près de 55millions$ dès ce premier weekend...) ne s'écarte pas de l'humour grinçant des dessins-animés du réalisateur. Pour avoir un aperçu, bande-annonce plus bas.
Walk Away Renée, je t'en parlais le mois dernier ici. Ce deuxième, très bon, long métrage de Jonathan Caouette (après Tarnation) sera sur nos écrans dès le 2 mai prochain.
Pour l'occasion, on te propose de gagner 2 places pour y assister dans la salle de ton choix (parmi les salles diffusant le film, et hors weekends et jours fériés). Et en bonus 1 affiche du film par gagnant. Pour en faire partie il te suffit de laisser un petit commentaire ici (en prenant soin de préciser un mail valide..) et le tirage au sort aura lieu le lundi 23 avril.
Pour le pitch, ainsi que mon avis sur le film: on clique ici, et pour comprendre la place que la musique tient dans ce road documentaire aussi scotchant que touchant, parole au réalisateur:
"Je ne peux pas m’en passer. Je suis fou de Folk. Si je n’étais pas cinéaste, je serais musicien de rue à Austin, Texas. Quand j’ai fait Tarnation, j’avais la musique en tête avant l’histoire. La musique doit trouver un équilibre avec l’image : quand la musique ne souligne pas la scène, elle intervient en contrepoint. Je trouve par exemple très ironique de juxtaposer des chansons à la qualité d’écoute parfaite sur mes vieilles images en Super 8. L’idée d’une BO de luxe sur des images dégradées. C’est le même contraste que j’adore dans le folk, le temps d’une chanson triste, on s’aventure dans les ténèbres mais on en ressort avec quelque chose de bien, de nouvelles émotions. C’est ma règle, sans bonne musique, on ne va nulle part. Par exemple, le travail de Lars Von Trier sur la BO de Breaking The Waves a été très important pour moi"
Après le succès incontestable de Tarnation (en 2004) Jonathan Caouette revient avec Walk Away Renée qui a été présenté dans le cadre de la semaine de la critique au Festival de Cannes 2011.
Le pitch?
En compagnie de sa mère, Renée, qui souffre d'importants troubles
mentaux, le réalisateur Jonathan Caouette entreprend un voyage à travers
les Etats-Unis, pour la déménager de Houston à New York. Les obstacles
qu'ils rencontrent sur leur route sont entrecoupés de retours dans le
temps qui donnent un aperçu de cette relation mère-fils hors du commun.
A travers un montage musical et parfois psychédélique, alternant réalité
et imaginaire.
Mon avis en trois points?
Un "road documentaire" parfois dérangeant, souvent déjanté (c'est malheureusement le cas de le dire) et constamment touchant.
Même si le réalisateur décrit ce film comme une extension, mais alors dans un sens organique, non-linéaire de Tarnation, il serait malhonnête de ma part de ne pas préciser que des similitudes peut-être trop importantes gâchent en partie le ressenti général. Disons plus simplement que, même si on se la prend encore, la claque est beaucoup moins forte qu'en 2004
A voir absolument
Une autre réalisation de Caouette à voir
All Flowers in Time, très bon court avec Chloë Sevigny
La citation du réalisateur que je retiendrai
De manière générale, je crois qu’il y a énormément de choses qui se passent en dehors de ce que nous savons. Je ne saurais clairement l’articuler mais il me semble indéniable qu’il existe des énergies qu’on ne voit pas, qu’on n’arrive pas à déterminer mais qu’on perçoit parfois de manière extrêmement vive, palpable. Nous vivons une ère de questionnements existentiels.
Les extraits
On commence avec la bande annonce
Et on enchaine avec deux morceaux extraits de Tarnation qui me restent particulièrement en tête. (on reparlera sûrement ici de Walk Away Renée au travers de sa B.O. lorsqu'elle sortira)
...d'un côté Ballad of lucy jordan d'Iron and Wine
...de l'autre Naked As We Came de Marianne Fauthfull
Oui, c'est vrai, le thème du film Peter Gunn (que l'on doit, comme celui de la Panthère Rose, à Henry Mancini) n'a eu de cesse d'être repris depuis sa sortie et son grammy, pour l'album de l'année, de 1959.
Malgré cela, le Shotgun d'Eugene McGuinness qui en est inspiré et dont il nous a dévoilé le clip (réalisé par Thirty Two) aujourd'hui, est vraiment réussi. Avec ce deuxième single extrait de son très attendu album, le jeune irlandais nous met de plus en plus l'eau à la bouche! On se donne rendez-vous en juin pour voir ce que ça donne...
En bonus: le clip du premier single, sorti en fin d'année dernière, Lion. Mais avant ça, petit aperçu des paroles...
All aboard" cleopatra purrs..
Among pens and swords, the gun's mightier
A mane of gold like a flame from a skull
Upon the wings of an angel We'll leave this hellhole
Little boy lost down devil's alley The mad alsatian can almost taste me Merrily merrily in terror I flee Into the glow of traffic like a lava flow you'll see me
Every time I dance Every time I dance with you I stagger out the nightclub Black and blue, battered and bruised I care not But I care not Shotgun Shotgun Shotgun
Un 26 décembre? Le jour idéal pour se rattraper en ce qui concerne les tâches les plus importantes, au premier rang desquelles: les séries en retard!
Parmi mes gros coups de cœur dans le cru 2011, je ne peux que te conseiller, si ce n'est pas déjà fait, de regarder Boss (diffusée sur Starz, et que l'on doit à l'iranien Farhad Safinia). Une très très belle surprise, dont je n'avais pas encore regardé les deux derniers épisodes...
Pour la série: du pouvoir, du sexe (hum hum... non rien à voir avec les faits marquants de l'année 2011!), du lobbying, des affaires.. de la politique en somme.
En fil d'Ariane: la maladie. De celles qui ne te quitteront pas...
Et pour finir, une image parfaite, une réalisation tout simplement (et c'est déjà beaucoup) juste, et un casting qui tient bien la route (non non non, pas juste pour l'ex-Beverly Hills Kathleen Robertson. Je ne savais pas quoi mettre comme photo pour illustrer le post, c'est tout hein..:D).
Le tout pour un résultat particulièrement prenant!
Et pour le son que ça me laisse en tête en cette fin de journée: Satan Your Kingdom Must Come Down, dans sa version interprétée par Robert Plant. Pour ce morceau, qui est l'habillage musical parfait du générique de la série, on retrouve l'ex Led Zep ici en live et backé par The Band Of Joy...
Dimanche...
Après une journée de soleil...
Crevé, détendu et donc du temps de cerveau à mettre à disposition.
Direction logique: TF1. J'avoue, je suis faible. Je bats ma coulpe.
Bon le (télé)film, La Doublure, pas vraiment grand chose à dire hein (et surtout il m'est difficile d'être objectif vu qu'il y a Gad ElMaleh mais aussi, et surtout, Alice Taglioni...).
Par contre, ce que je retiendrai c'est le générique d'intro dynamité par celui
...Dont l'un des enregistrements avait été choisi dès 1977 pour faire partie d'un coffret à destination des extra-terrestres, et visant à leur faire goûter à la quintessence de la culture "humaine",
...Qui a été classé 6ème meilleur guitariste de tous les temps et 25ème meilleur artiste par le Rolling Stone magazine. Chuck Berry! Avec l'un de ces (très nombreux) classiques : No particular place to go.
Allez c'est vendredi, on continue la sélection très féminine entamée hier, et pour finir la semaine paisiblement: Get a Life le dernier clip de Tanya Stephens (qui continue tranquillement de tracer son chemin depuis le milieu des années 90..) morceau dont le seul refrain justifie la présence ici, vu la semaine humide que l'on a eue...
Let the rain fall, And let the rain blow, 'Cause after the rain fall, Must come a rainbow.
Le morceau est extrait de la B.O. de Ghett' A Life (Jamrock Prod.) un film made in Jamaica, dont la sortie US a lieu aujourd'hui. Pour Nous? On va dire, "un jour"... et certainement en Direct-To-DVD.
Le pitch, en gros: Jamaïque. Un ghetto. Un jeune. Un objectif: faire partie de l'équipe nationale de boxe. Un obstacle: le père. Un contexte: année d'élection (toujours très meurtrière dans le pays, les deux principaux partis instrumentalisant les gangs qui leurs sont proches... ça avait notamment, donné lieu en d'autres temps, au concert Smile Jamaica avant lequel Bob Marley avait été pris en embuscade par l'un de ces gangs. Événement qui lui avait inspiré le morceau ambush in the night). Les risques donc: ces gangs... (bande annonce plus bas)
Il m'a tout de suite fait penser à These Streets dont le clip étant notamment réalisé à partir d'images de Ky-Mani Marleydans un film tellement inutile qu'il en est devenu particulièrement marquant pour moi, à savoir Shootas. Tu connais peut-être le morceau, ça avait été l'un des cartons reggae de 2006... Et il permet d'apprécier toute la "poésie très jamaïcaine" de la miss....
[Extrait des...] Paroles These Streets:
I wish yuh woulda treat mi like yuh glock I woulda love it if yuh keep mi pon cock I wish yuh woulda treat mi like a Yatch Keep mi wet while de waves dem a rock Why yuh cyann stay pon mi like di corna? And keep yuh lips pon mi like yuh marijuana I woulda love it if yuh treat mi like yuh club Stay up inna mi whole night just a bump and grind and rub up
Yuh don't understand What your woman needs from her man While yuh deh pan de street all de time Just bear dis in mind, bwoy
These streets don't love yuh like I do (Yuh need fi know dat) Yuh wanna keep yuh woman lovin yuh (Then yuh need fi show dat) The love wi ah fi tek so much effort fi build (Yuh about fi blow dat) But just like a played out Jersey, yuh about fi get throwback
I wish yuh woulda treat mi like a house Mi know yuh nah leggo dat when yuh bounce yuh shoulda dey home a knock boots like yuh Tims Need fi act older dan de size a yuh rims I wish yuh woulda stay pon mi like yuh phone man And neva leave di house widout mi like yuh chrome man Bwoy, I wish yuh woulda treat mi like yuh whips Yuh girls a perfect ten but yuh Benz dem a only a five and a six...
Dans le casque avant d'aller la traverser... La seine, VanessaParadis & -M-, extrait du film Un monstre à Paris (sortie: 12 Octobre, et la elle BO sera disponible dès le 19 septembre sur la Toile). Paroles:
elle sort de son lit tellement sûre d'elle la Seine, la Seine, la Seine tellement jolie elle m’ensorcelle la Seine, la Seine, la Seine extralucide la lune est sure la Seine, la Seine, la Seine tu n'est pas soul Paris est sous la Seine, la Seine, la Seine je ne sais, ne sais, ne sais pas pourquoi c'est comme ça, la Seine et moi je ne sais, ne sais, ne sais pas pourquoi on s'aime comme ça la seine et moi extralucide quand tu est sur la Seine, la Seine, la Seine extravagante quand l'ange est sur la Seine, la Seine, la Seine je ne sais, ne sais, ne sais pas pourquoi c'est comme ça, la Seine et moi je ne sais, ne sais, ne sais pas pourquoi on s'aime comme ça la seine et moi
On a tous des refrains, des chansons, qui déclenchent en nous l'irrésistible envie de chanter à tue-tête (et pas toujours très juste, mais passons...). En bonne place parmi les miennes, figurent ce Bankrobber des Clash, un titre qui n'apparait sur aucun de leurs albums studios, mais qui sortira sur la compilation Black Market Clash.
À la base je comptais publier ce post il y a déjà un moment à l'occasion de la sortie du film Rocknrolla. En effet, à l'instar de ses autres films le dernier Guy Ritchie en date bénéficie lui aussi d'une bande originale de très grande qualité! Une marque de fabrique un peu à la manière de Tarantino!
Je t'en avais d'ailleurs déjà parlé il y a bientôt trois ans, avec la B.O. de Lock, Stock and Two Smocking Barrels, les 18 with a bullet, Police and thives (avec là aussi les Clash...) ou encore le thème de Zorba venaient apporter tour à tour une profondeur, un atmosphère décalée ou au contraire dramatique aux actions et aux personnages. Il en est de même pour celle de Rocknrolla.
En réécoutant Bankrobber, comment ne pas penser à cette scène dans laquelle apparait le très décadent Johnny Quid qui se revoit dans la peau du petit John Cole et se remémore les "doux" rapports qu'il entretenait avec son beau-père...
[extrait des...] Paroles:
My daddy was a Banrobber But he never hurt nobody He just loved to live that way And he loved to steal your money
Some is rich, and some is poor That's the way the world is But i don't believe in lying back Sayin' how bad your luck is
So we came to jazz it up We never loved a shovel Break your back to earn your pay An' don't forget to grovel
Ah les reprises! C'est un sujet dont on reparlera souvent par ici...J'ai toujours aimé voir comme un artiste pouvait redonner une nouvelle vie au titre d'un autre.
Pour ce post c'est à la chanson Bang Bang que nous allons nous intéresser. Interprétée initialement par Cher en 66 (écrite par Sonny Bono), elle a été reprise la même année par:
Sheila, dont ce fut l'un des succès les plus importants et qui sera l'héroïne l'année suivante du film éponyme de Piollet
Nancy Sinatra, dont la voix me procure....comment dire..? des sensations intenses !
Donc ci-dessous on retrouve dans l'ordre:
la version de Cher, extraite de son fameux Live au Mirage de Vegas
une version de Sheila, cette année chez Drucker, version revisitée quarante ans après, avec un petit instru de Bossa qui donne une lui donne une touche particulière
et...Nancy Sinatra! Morceau auquel Quentin Tarantino, avec Kill Bill, a redonné un nouvel élan.
N'hésitez pas à me dire celle que vous préférez, je crois que vous aurez compris mon avis sur la question ;)