vendredi, avril 18, 2014

Fréderic "Tonton" Antonpietri - Deci Milioni [MAFIOSA Saison 5 Episode 3]

Non non, rien à craindre, pas de spoiler ici... En bon fan de Mafiosa, l'impatience l'a emporté. L'ensemble de la Saison 5 disponible dès lundi dernier? J'aurais tenu quatre jours avant de craquer. Mais bon j'arrête là, je ne piperai mot sur ce qui t'attends (Oui. Piper mot, on a ressorti les expressions d'antan, l'âge tout ça tout ça...).

Ici on va plutôt s'intéresser à un extrait de la B.O. de la série. Une bande originale qui est, à l'instar de celles de l'ensemble des productions Canal+, vraiment excellente. Des morceaux qui, outre de coller parfaitement à ces séries, leur donnent même toute leur âme. On t'avait d'ailleurs déjà parlé il y a quelques temps de celle de Kaboul Kitchen, avec en particulier la musique de son générique.

Donc Mafiosa, saison 5, épisode 3... l'intro de l'épisode nous envoie du lourd, aevc une transition survoltée et originale. Du rock corse en VO interprété par Frédéric "tonton" Antonpietri, artiste qu'on a pris plaisir à découvrir. Le dernier projet auquel il participe l'album Back to Lovercraft (dont le trailer est en vidéo plus bas) qu'il a réalisé avec Paul Cesari, Armand Luciani et Marie Ange Tosi-Abbati a l'air vraiment très réussi. On notera qu'il a été enregistré à Abbey Road avec à la baguette Peter Mew et que Charlie Mc Coy (qui a joué avec, excusez du peu, Elvis Presley, Bob Dylan, Simon & Garfunkel, Cliff Richard ou Johnny Cash) nous fait entendre son harmonica.

Pour revenir à ce Deci Milioni qui introduit l'épisode 3, il ne peut que faire penser à un Narcocorrido (ces morceaux mexicains qui encensent les chefs des Cartels en narrant leurs exploits funestes, un peu à la manière du Gangsta Rap US) mais dans leur version corse.

Donc on se regarde ça, et en bonus un morceau de Narcocorrido un peu particulier puisqu'il rend hommage à Jack White, aka Heisenberg, le héros de Breaking Bad. Et pour se procurer la bo dans son ensemble  de cette ultime saison, une belle réussite de Pierre Gambini, on clique sur l'image...