Quand deux de nos chouchous se rencontrent on est logiquement obligés d'aimer!
Theophilus London dont on t'a parlé plusieurs fois prépare la sortie de son album Vibes (avec dans le rôle du producteur exécutif "lui", donc on imagine déjà le bruit que ça risque de faire
Si le trio sud-africain emmené par Ninja et Yolandi Visser (et, bien caché derrière ses platines, Hi-Tek) ne brille pas toujours par son excellence niveau son (et encore, même là on est réceptifs! Allez savoir...) il faut reconnaitre que visuellement ils ont su imposer leur marque de fabrique.
FKA Twigs se met en scène pour promouvoir les Google Glass!
A la fois actrice et réal pour cette pub en forme de court métrage, la chanteuse met en avant les atouts produits (vous avez dit Brand Utility?) avec en guise de bande son, deux de ses morceaux : Video Girl et Glass Patron.
New-yorkaise de 25 ans, Elle King a écumé les Etats-Unis avant de s'établir dans la Big apple. Elle débute sa carrière en se produisant à Brooklyn et Harlem. Son style musical va de la country au rock en passant par la soul et le blues.
La charmante Tove Östman Styrke nous revient avec un nouveau clip tout frais! La jeune suédoise qui avait été repérée dans Sweden Idol en 2009 (dans lequel elle s'était hissée à la troisième place du podium) nous présente la vidéo de Borderline premier single de l'EP éponyme qui sortira le 23 novembre prochain.
Paolo Nutini... J'aime beaucoup la voix de ce jeune écossais (pas encore 20ans) dont l'album (These streets) est sorti cette année. Alors les extraits:
Pour commencer, et avoir un premier aperçu de son timbre particulier, je ne résiste pas à la tentation de vous remettre la reprise en duo avec Jehro de DayDream des Lovin' Spoonful, groupe mythique des 60's qui était aussi le premier interprète de Summer In the city, reprise par Joe Cocker
Le clip de son premier tube: Last Request (c'est marrant on m'a très justement fait remarquer récemment que parmi les plus belles chansons d'amour, un très grand nombre concernait les ruptures, et c'est aussi le cas pour celle-ci...)
Et enfin son nouveau single Jenny don't be hasty en live
Alors que dire pour le présenter? Si c'est encore nécessaire... Jeff Buckley est né dans une famille de musicien, Mary Guibert était pianiste et chanteuse d'origine panaméenne,son père Tim: un artiste marquant des années 60/70. Ses parents étant divorcés, il n'a que très peu connu son père qui meurt alors qu'il n'a que 9ans.
Influencé par des artistes tels que Lou Reed, les Beatles, Led Zep ou encore Edith Piaf, il commence le piano et la guitare à 6ans! Son premier album (et le seul diffusé de son vivant), Grace, sorti en 1994 est tout simplement magique et incomparable/inclassable à mes yeux...
Et comment passer à côté de ce paragraphe que l'on retrouve ça et là sur le net: "Jeff Buckley se promène au bord du boueux affluent Wolf River avec son ami Keith Foti et décide d’aller se baigner, tout habillé, au son de Led Zeppelin que crache le ghetto-blaster. Après le passage d’un bateau à roues il disparaît dans les eaux. Son corps est retrouvé dans le Mississippi trois jours plus tard, vingt-deux ans et un mois après la mort de son père."Voilà pour le factuel...
De manière plus personnelle, je n'ai connu Jeff Buckley que vers 98, soit un an après sa mort. Et depuis lors je reste impressionné, touché, ému à chaque fois que je l'écoute. Que ce soit sa voix (qui "couvre cinq octaves"...!) les paroles, ou encore les musiques (composées en grande partie par Gary Lucas) de ses chansons, j'aime vraiment l'univers de cet artiste parti trop tôt...
Bon allez, j'arrête les violons... et je te laisse passer aux extraits:
On commence avec l'incontournable et très mystique reprise de Léonard Cohen: Hallelujah... et Grace .
Première chose à entendre ce matin après avoir ouvert les yeux: la disparition d'une légende d'un homme au charisme impressionnant, d'un artiste qui aura laissé à la musique des titres que l'on oubliera jamais et à la danse des pas (du "boogaloo" au "funcky chicken") qui ont entraîné les scènes du monde entier.
Celui que l'on appelait le Godfather de la soul nous a quitté aujourd'hui...en hommage à cette voix d'exception, à ce showman de génie:
On commence en douceur avec Try me et This is a man's world
On enchaîne avec I feel Good et Sex Machine
Et pour finir un extrait de Funk dont lui seul avait le secret: Get on the good foot !
1992, What's up propulse Bigger, Better, Faster, More le premier album des 4 Non Blondesen tête des charts, et lui fait dépasser les 6 millions de ventes!
Et voilà que ca recommence avec les chaînes dans la blogosphère :( C'est bien parcequ'il est 6h00 du mat' (à l'heure où je commence à rédiger ce post), que je suis de bonne humeur après une soirée exquise et que deux personnes dont j'apprécie les blogs m'ont mis dans la boucle: donc merci pour le "cadeau empoisonné" à messieurs le veilleur2com' et LudoFJ ;)
Je vous préviens tout de suite ça risque de ne pas être très intéressant, enfin fon je me lance et, comme proposé par ludo, on va essayer de faire ça autour de la musique tant qu'à faire...
Sûrement à cause de l'heure qu'il est: envie de vous dire passer l'une des premières chansons que j'ai fredonnées... Chacun Fait, Chagrin d'amour !
Le premier concert auquel j'ai assisté : Jean-Jacques Goldman, je devais avoir 10 ans et c'était magique, moins de 200 personnes, ambiance intimiste, un moment inoubliable...L'extrait: Là-bas
A Abidjan j'habitais dans la même rue que celui qui est devenu LA star du reggae africain: Alpha Blondy (alors qu'il vivait encore chez son oncle, et ne s'en était pas fait virer pour fumette intensive de cannabis...). L'extrait: Cocody Rasta
Mon frère fait de la musique, après des expériences avec différentes formations, il tente aujourd'hui de se lancer dans la prod'. Et la première ou fois où je l'ai vu sur scène (à 12 ans) c'était à Dakar, oùil assurait la première partie de Big Red(juste avant qu'il s'associe à Daddy Mory dans Raggasonic). L'extrait: Bleu Blanc Rouge
Pendant une partie de ma vie en France j'ai été véritablement accro aux ambiances reggae/ragga, j'ai donc écumé les Sound Systems de la capitale et pour vous donner un aperçu de l'ambiance qui y règne, et à quel point le public bouge dans ce type de soirées: Saïk et Daly
5h du mat'...dernier post de cette nuit d'insomniaque passée sur Eklektik!
...Pourquoi ce titre? Tout simplement pour le point commun qui les uni, à savoir: Timbaland, celui qui fait figure de producteur incontournable du moment!
Malgré le fait que Timothy Z. Mosley ait contribué à faire naître les plus grands tubes et albums de nombreux artistes depuis plus de 10 ans c'est vraiment cette année que son talent explose aux yeux du grand public et surtout que son nom est mis en avant.
En effet si certains savaient qu'il était en grande partie responsable du succès de chanteuses telles qu'Aaliyah ou Missy Elliot, ou encore qu'il avait produit de nombreux hits de Ginuwine (Pony!!), Big Boi d'Outkast, Ludacris, Brandy, Nas, etc. ce n'était pas le cas du plus grand nombre...Tout simplement parcequ'il se cantonnait à des artstes de Rap, certes populaires, mais néanmoins moins "bankable" que ceux avec lesquels il travaille cette année.
Les extraits:
Le dernier single des PussyCat Dolls, Wait a minute
C'est dingue j'ai envie de faire ce post, mais je ne sais pas trop quoi dire... :D Ou plutôt, j'ai juste envie de dire : Que j'aime ce groupe et leur musique, Que ce sont de violon (joué par Arnaud Samuel) donne une couleur particulière à leur compositions. Que j'adore la voix de Gaëtan Roussel, que je la trouve vraiment unique, envoûtante, entraînante!
Les extraits:
Live: Léa, même si la qualité n'est pas très bonne (désolé...) je devais la passer!
Clip: Je t'emmène au vent
Live: Ton invitation, NPA 1998 [edit de 5mn plus tard: le son des baguettes est juste énorme!]
Sans transition on passe de la douceur de Vanessa Paradis au son des gangsters du rap US...
Deux exemples de récupération de "vieux" tubes du reggae par des rappeurs...
On commence par le plus récent, le dernier single du mauvais garçon de Compton The Game, en featuring Junior Reid sur une reprise du mythique One Blood
Deuxième extrait, Shyne et Barrington Levy, sur une adaptation de Murderer de ce dernier (clip tourné en Jamaïque dans une ambiance sound system et dancehall queens...)
Et pour ceux qui ne connaissent pas Barrington Levy et son flow identifiable entre mille: Under me sensi en live
...Red Hot version un peu, comment dire..? Agité, rythmé, qui donne envie de bouger!
Une citation d'Anthony Kiedis qui résume assez bien l'une des caractéristiques du groupe: «Destruction leads to a very rough road, but it also breeds creation...»
Les extraits:
Live: L'inoubliable Give it away
Clip: Aeroplane, qui doit être l'un de mes morceaux préférés du groupe...!
Plutôt que de faire de l'on discours et de vous racontez des choses que vous savez sûrement tous sur ce groupe, trois posts qui reflèteront trois aspects et qui résumeront bienles Red Hot Chili Pepers, et pour commencer:
...Red Hot version musiciens de génie! Chad Smith, John Frusciante et bien évidemment Monsieur Flea (Michael Balzary)!
Les extraits:
Tarata, extrait court pour la mise en bouche
Good God (variation sur la base d'une instru de James Brown)
JAM session, Chad Smith et Flea, tout simplement énormes! 8 minutes environ de pur bonheur pour les amoureux de la musique qui resteront ébahis devant la maîtise du slap de Flea (et celle de Chad à la grosse caisse)!
Pour finir une petite séquence live de Flea sur le titre Pea
Je pourrais vous parler ici du parcours (un peu version success story US) de cet artiste, à savoir:
Son enfance: adopté et élevé par sa grand-mère
De ses premiers pas dans la musique: dès l'âge de trois ans au piano et par la suite dans une chorale Gospel
De son The Jamie Foxx Show, qui a été une véritable consécration (dès 1996 et jusqu'à 2001)
De sa carrière au cinéma qui ne s'arrête pas à son Oscar comme meilleur acteur pour son interprétation dans Ray, mai qui débute avec son rôle dans Toys (1992) et passe par des films tels que La couleur de l'arnaque,Les maîtres du Jeu, Ali,Collateral, le récent Miami Vice, et j'en passe
Etc.
Mais ici, il n'est question que du renouveau de sa carrière musicale (qui avait commencé avec un succès relatif en 1994 avec l'album Peep This) ou du moins de sa reconnaissance par le public.
Le meilleur moyen de se faire une idée est de le voir à l’œuvre, donc les extraits que l'on va se voir. Donc, une version live d'Unpredictable (titre éponyme de l'album), suivi de l'incontournable duo avec Kanye West: Gold Digger, sans Kanye, donc encore mieux, en mode Medley avec Extravagenza, chez Letterman.
Vendredi. 18h45. Semaine surchargée, toujours au boulot....et pour un long moment encore! Alors histoire de mettre un peu de soleil dans cette grisaille et se dire que c'est (malgré tout) le début du weekend, voilà ce que je vous propose: Jack Johnson...
Que dire? Ce garçon a pas mal de choses pour lui:
Né sur un véritable petit paradis sur Terre: Hawaï (un des endroits dont je rêve, et où je ne suis pas encore allé)
Surfeur pro (fils d'un pro: ça aide), sponsorisé Quicksilver, plus jeune finaliste (à 17ans) du Pipe Surf Contest (et oui le môsieur maîtrise cette vague unique qu'est Pipeline!!)
Signé chez Enjoy Records (rebaptisé Everloving), le label crée par Andy Factor et JP Plunier (le manager et producteur de Ben Harper. Ben Harper dont Jack Johnson fera d'ailleurs la première partie en live et avec qui il enregistrera un titre mythique: voir plus bas...)
1997...première année de ma vie ou j'ai vraiment habité en France. Cette même année mon premier Gala étudiant. Celui de l'ESIEE-Paris (où j'étudiais à l'époque), l'un des plus important de France (environ 6 000 personnes!!).
Malheureusement je m'occupais à cette occasion d'un des bars du Gala et je n'ai donc pas pu profiter de tous les concerts, de toutes les ambiances, etc. qui étaient proposés. Le seul que j'ai réussi à voir? Celui de Silmaris. Même si ce n'était pas trop la musique que je préférais, je n'ai absolument pas été déçu par ce qui représente le premier live auquel j'ai assisté en France!
Alors, en mémoire de ce concert, et plutôt que de vous passer Il va y avoir du sport ou Cours Vite (et son fameux clip qui regorge d'actrices pornos..) j'ai choisi la très paisible Karma (extraite de l'album Original Krama) que j'adore depuis ce jour là!
Et en prime: Un petit extrait des paroles quelque peu décalées (comme le groupe...) je crois d'ailleurs que j'en mettrai dorénavant assez régulièrement...
Je suis l'éponge, le buvard, un alcoolique unanime Un être à part aux frontières de la débine La marque de mon sceau et dans tous les bars J'suis le roi des poivrons, il parait même que je suis vicelard J'essaie de changer, d'arrêter la déglingue Pas ma faute, c'est cette bouteille qui me fait du gringue Pur malt ou pur meuf, meilleur à 16 ans Le show business a fait de moi un endurant Life is so beautiful and I say that I dont wanna die Je travaille mon karmaaaaaaa..... J'suis l'épave, la redave, multinationale du vice Vision d'cauchemar, j'martirise les packs de 6 Je bois donc je fuis, parfois j'bedave aussi Plus fort qu'O.J. pour dégoter des alibis J'essaie de changer, d'arrêter la déglingue Pas ma faute, c'est cette bouteille qui me fait du gringue Pur malt ou pur meuf, meilleur à 16 ans Le show bizz a fait de moi un endurant Life is so beautiful and I say that I dont wanna die Je travaille mon karmaaaaaaa.....
Suite de la série de reprises entamée là et poursuivie ici.
Aujourd'hui on passe du Jazz à l'Acid Jazz, de Herbie Hancock à US 3. Le premier fera l'objet d'un post à part entière ultérieurement tant je suis subjugué par cet artiste, sa créativité, sa maîtrise musicale, etc.
US 3 est un groupe de Trip Hop londonien. Leur premier album Hand on the torch (1993) a été entièrement conçu sur la base de samples de classiques de Blue Note Records. Ce qui les incitera (afin d'éviter les poursuites) à rejoindre l'écurie Blue Note et à délaisser Ninja Tune (en gros le transfert du meilleur Label de Trip Hop vers le meilleur de Jazz, rien que ça!!). Le groupe emmené par Geoff Wilkinson et Mel simpson s'entoure de nombreux musiciens et chanteurs au fur et à mesure de le parcours en studio et en live.
Le titre auquel nous intéresserons dans ce post est tout simplement l'une des meilleures ventes du label de jazz le plus mythique! Cantaloop (Flip Fantasia) ! J'adore vraiment cette musique (et ce groupe!) qui leur a été inspirée par l'une des créations les plus abouties d'Herbie Hancock: Cantaloupe Island (extraite de l'album Empyrean Isles de 1964).
Donc place à la Musique, avec le clip de Cantaloop, suivi d'un extrait live (de 9mn) de Cantaloupe Island!
Un pianiste, un virtuose, un génie tout simplement: Gonzales...!
Pour ceux qui ne le connaissent pas, deux extraits: le premier au théatre du Châtelet en septembre, le second à Séte, avec en prime un petit cours pour les néophytes (dont je fais partie)..!
Je pense que JK fera l'objet d'un autre post ultérieurement (c'est fou je dis ce genre de choses pour plein posts/d'artistes, je crois que j'ai de la matière pour au moins 50 ans encore sur Eklektik!) puisque dans celui-ci il ne sera question que de ses productions de "lover" (oui, bon ça va, je ne voyais pas comment le dire autrement...).
Ce qui m'a donné envie d'écrire ce post? De choses: ==> Envie d'un peu de légèreté en ce moment? Envie de chansons aux paroles positives? envie d'être "Gnan Gnan"..? oui Sûrement! :D ==> Le fait de tomber par hasard sur le premier extrait que l'on va voir, With a little L, qui m'a rappelé ce que je considère tout simplement comme l'un des plus beaux concerts auxquels j'ai pu assister. C'était en 2003, et à Bercy.
Digression: C'était aussi la première fois que je voyais un carré VIP dans cette salle!! Heureusement c'est le genre d'endroits d'où l'on sort plus aisément que l'on rentre. Si j'avais du passer l'ensemble de cette soirée dans cette espace (où les robes Agnès B croisaient les costumes Armani) j'aurais tout simplement gâché ma soirée. Imaginez un peu le seul endroit de Bercy aussi réactif que la tribune présidentielle dans un stade lors de la Ola...pendant un concert de ce genre ça le fait que très moyennement..!!
Tout ça pour dire que je n'oublierai jamais cette salle tapant des mains en coeur et en rythme sur le refrain: Inoubliable!
Ces donc les créations de l'homme aux chapeaux dédiées à l'Amooouuur que l'on s'intéresse dans ce post. Des textes doux et vrais sur des musiques tour à tour Funk ou plus paisibles. On a dans l'ordre:
With a little L,
Half the man (simplement magnifique!),
You give me something,
Et on fini avec In the mood for love (sur une rythmique classique de Ska, assez originale, j'aime beaucoup).
J'aurais pu intituler ce post "The drugs don't work" tant c'est surtout sur cette chanson que je veux attirer votre attention. Elle représente beaucoup pour moi, la drogue a en effet réussi à séduire et m'enlever une personne qui m'était chère et que je n'oublierai jamais, et c'est à elle que j'ai pensé dès que j'ai découvert ce morceau il y a deux ans, par le biais de la reprise qu'en avait fait Ben Harper en Live. C'est ça qui m'a amené à vraiment m'intéresser à ce groupe que je ne connaissais que de nom à l'époque.
Pour vous présenter The Verve je vais me permettre (une fois n'est pas coutume) de reprendre la présentation qui en est faite en introduction de leur page dédiée sur Wikipédia, tellement je la trouve "bien":
"La montée du groupe fut en réalité l’aboutissement d’un long et éprouvant voyage qui débuta à l’aube des années 90 et dont le déroulement fut perturbé par une séparation, de multiples poursuites judiciaires, ainsi qu’une importante consommation de narcotiques. Avec leur son océanique, associant la vision exploratoire du psychédélisme des années 60 et de chatoyantes et esthétiques atmosphères, The Verve se languissait dans une relative obscurité avant de faire surface dans le monde musical, donnant ainsi naissance à une des plus complexe et remarquable évolution en matière de rock moderne et cela bien avant que la plupart ne connaissent même leur existence."
(ps: si quelqu'un peut m'expliquer ce qu'est un "son océanique" ça serait vraiment gentil :)
Donc les extraits:
La sublime The drugs don't work, en live: un grand moment!
Le live du tube Bitter Sweet Symphony (sur lequel le groupe n'a pas touché ses droits d'auteurs, la base rythmique de cette chanson ayant été "inspirée" par les Rolling Stones, dont la maison de disque a récupéré le pactole)
Le clip de Lucky man
Et enfin, le groupe s'étant séparé en 1998, un extrait de Richard Ashcroft en solo: A song for the lovers
Dès la première fois où j'ai entendu Ayo (c'était sur Nova), je savais que j'aimerai cette artiste, ses chansons, sa voix, ce timbre particulier, etc. Et je ne m'étais pas trompé!
Par la suite j'ai appris:
Qu'elle été née en Allemagne et qu'elle était d'origine nigériane du côté de son père et roumaine du côté de sa mère (qui était gitane)
Que l'héroïne que prennait sa mère a été, en quelques sortes, à l'origine de sa première douleur lorsque cette dernièe l'a quittée (elle n'avait que 5 ans)
Que de manière générale, son inspiration retranscrit les blessures qui jalonnent sa vie
Que son nom signifie "Joie" en Yoruba
Qu'elle a eu son premier enfant (Nile) à l'âge de 25 ans, l'année dernière
Que l'enregistrement de son album en studio, à New York, n'a duré que 5 jours! Et qu'il l'a été à la manière d'un live...
Que ses influences allaient de Pink Floyd à Bob, en passant par Fela ou Stevie Wonder
En tous cas depuis plus de cinq mois ses mélodies m'envoûtent très régulièrement.
Les extraits: on commence bien évidemment avec Down on my knees en live dans Tarata, ensuite deux reprises Natural Woman et With a little help from my friends (des Beatles) en duo avec Jude. Et pour finir Help is coming, en live (désolé pour la qualité, mais je n'ai pas pu m'empêcher de la mettre...)
Plus que sur l'artiste qui l'interprète, c'est sur la chanson que je voudrais attirer votre attention. C'est peut être très "fleur bleu", mais ce texte est en fait une déclaration d'amour à la base, faite par Abdelkader El Khaldi un poète algérien du 19ème siècle, à sa muse qui deviendra la femme de sa vie. Elle est mise en musique ici par l'un des chanteurs de Raï les plus populaires (à une époque) : Khaled.
Update (de deux minutes plus tard): le son du violon sur cette musique me donne vraiment des frissons!
Cette semaine quelqu'un a qui je tiens vraiment beaucoup est allé au concert de Christina Aguilera à Bercy... Elle m'a donc parlé du quasi-culte qu'elle vouait à cette artiste :)
Comment donc ne pas m'intéresser de plus près à ses morceaux qui font partie de ce que j'entend souvent sans vraiment les écouter. En effet cette chanteuse appartient, pour beaucoup de personnes, à la catégorie variété, commerciale, etc. Une catégorie sur laquelle on est vite tenté d'avoir des à prioris et que l'on aime à "rabaisser"...
Tout ça pour dire que quand on a de l'affection pour quelqu'un on prête souvent naturellement une attention particulière à ces centres d'intérêts, ses coups de coeur. C'est donc ce que j'ai fait, et je n'ai pas été déçu du voyage. J'ai en effet découvert une artiste impressionnante en live, une véritable "performer" et une voix hallucinante.
Donc dans l'ordre: Hurt,Come on over, et No other man. Et pour finir, et en bonus, un shooting sur son Summer Tour réalisé par la photographe érotique de renom (et ancienne modèle) Ellen Von Unwerth, qui a par exemple immortalisé Catherine Deneuve et Mylène Farmer. A noter: la musique qui accompagne ce dernier extrait est la version incomparable de Dream a Little Dream of Me interprétée par Louis Armstrong et Ella Fitzgerald
Je l'ai déjà dit: si j'ai ouvert ce blog, c'est parceque j'avais envie d'y faire cohabiter des morceaux et des artistes d'univers variés.
On passe donc sans aucune transition (si ce n'est celle de l'amour Musique, avec un grand M s'il vous plait!) de Cat Power à deux acteurs de la nouvelle scène du rap français d'aujourd'hui: Al Peco et Sefyu.
En ce qui concerne Al Peco, plutôt que de longs discours, on retrouvera Lascars vs. Bledars. Ce titre sonne comme une évidence pour celui qui est né en France, a grandi à Bamako jusqu'à ses 18 ans, avant de revenir du côté de Toulouse...
Pour ce qui est de Sefyu, on peut dire que son parcours est assez atypique: débarqué de sa cité d'Aulnay sous Bois, c'est à Arsenal qu'il atterit pour évouluer en pro dans le mythique club de Football dans lequel évoluent de nombreuses stars internationnales. Une blessure met fin prématurément à ce rêve et le réoriente vers le micro. "Sefyu Molotov" a connu un succès fulgurant l'année dernière avec l'album Qui suis-je, mais aussi et surtout le titre La vie qui va avec. Morceau dont le clip a largement circulé en underground et sur la Toile, devant ce succès et seulement un an plus tard, la nouvelle version, complètement aseptisée, de la vidéo est diffusée sur les chaînes de télé.
L'univers, la voix et le flow de cet artiste n'est pas sans rappeler les plus belles heures des groupes de rap undergrounds et engagés, bien loin du très festif et campagnard Kamini (qui m'a néanmoins bien fait marrer) dont le buzz sur la Toile a été impressionnant...
Le deuxième extrait ci-dessous est donc la première mouture du clip de La vie qui va avec, qui dénnonce et met en lumières préjugés et dérives propres à notre société (enfin de celle qui est au-delà de la "couronne de feu" ;). A noter que malgré le succès que connait l'artiste il continue d'officier comme éducateur dans son quartier...
Alors si je voulais faire semblant de connaître sur le bout des doigts l'oeuvre de Chan Marshall, je vous dirais que:
"La musique de Cat Power a la particularité d'être relativement minimaliste et extrêmement dépouillée"
Qu'elle "a la particularité de chanter dans un accent américain sudiste"
Que ses albums ont vu participer des artistes tels que Steve Shelley (Sonic Youth), Dave Grohl (Nirvana, Foo Fighters), Eddie Vedder (Pearl Jam), etc.
Que l'alcool a accompagné sa vie durant de longues années
Etc.
Seulement voilà: je ne connaissais pas cet auteur-compositeur-interprète jusqu'il y a moins de deux semaines (bon ça va! On ne peut pas tout connaître...)
Mais quelqu'un qui compte beaucoup dans ma vie me l'a fait découvrir. Cette donc à "toi" qu je pense en écrivant ce post...
En tous cas j'aime beaucoup ce qu'elle fait mais aussi cet espèce d'univers parallèle dans lequel elle semble évoluer!
Mathieu Chedid... Lorsque j'avais entendu Machistador pour la première fois, j'avoue ne pas avoir accroché directement.
Aujourd'hui c'est un peu différent! En effet après avoir passé en revue les différentes productions du fils de Louis Chedid (et accessoirement grand fan des Beatles) je ne peux que reconnaître mon erreur initiale.
Cet artiste est tout simplement pour moi l'un des plus créatifs et aussi celui que je préfère de très loin sur la scène françaiseactuelle! Enfin comment ne pas mentionner l'énergie qui se dégage de ses prestations Live..?
Alors pour la peine les quatre extraits sélectionnés se passent sur scène: dans l'orde En tête à tête, Machsitador, une reprise de Brel: Au suivant et une fin en apothéose avec Mama Sam lors du mythique Live aux Vielles Charrues (et là une petite pensée spéciale pour mes deux stagiaires préférés avec qui on se la passe régulièrement pour se donner du coeur à l'ouvrage ;)
Sade, cette artiste m'a toujours captivé, c'est fou je n'ai pas grand chose à dire de plus. Juste envie de partager ces quelques extraits. Juste envie d'entendre cette voix, ce timbre, que je reconnaitrais entre mille, sur ce blog. Juste envie, besoin, de cette espèce de quiétude qu'elle génère en moi.
On commence avec les incontournables Sweetest Taboo, Smooth Operator et No Ordinary Love, avant de passer au live avec Kiss of Life.